Niel kusman
ft. jamie dornan | summertime sadnesstrigger warning : décès d’un enfant (noyade), divorce, alcoolisme, dépression. âge, lieu de naissance : Blackburn, Royaume-Uni. Une journée particulièrement chaude et ensoleillée, à la fin du mois d’octobre. Le 27, plus précisément. Une température idéale,
parfaite, qui contrastait avec l’accouchement long et pénible que subissait sa mère. Si laborieux que ce sera le seul que le couple subira.
origines, nationalité : Son père est
anglais, sa mère
irlandaise. Une rivalité amicale entre ses parents qui a façonné la dualité qui est en lui depuis toujours. S’il a toujours vécu en sol anglais, il n’est pas prêt à renier son héritage qui lui vient de l’Irlande. Son premier roman s’y déroule d’ailleurs, une façon, peut-être, de le dédier à sa mère.
occupation, situation financière : £££££, sa situation financière en dents de scie. Longtemps
bien, sans être réellement aisé ni trop confortable. Il ne manquait de rien, il était comblé. Il avait un toit au-dessus de sa tête, quelque chose dans son assiette et un peu d’argent pour s’offrir quelques bouquins usagés. Puis, le succès lui est tombé dessus au pire moment de sa vie. Propulsé d’auteur inconnu devant jongler entre quelques boulots supplémentaires à
écrivain à succès. Quelque part entre une bénédiction et une malédiction. Il avait le luxe de pouvoir s’arrêter, de pouvoir prendre du temps pour son deuil, pour se remettre sur pieds. Se reconstruire. Mais la liberté financière l’a plutôt propulsé dans un gouffre duquel il n’a pas pu se sortir. Dilapidée, cette nouvelle fortune. Dépensée sa dernière avance pour son prochain livre. Il le voit ce mur qui approche à grande vitesse, les échéances, les factures, les avis de retard. Et il n’a pas l’impression qu’il pourra l’éviter avant de le frapper de plein fouet.
statut civil, orientation : hétérosexuel, divorcé. Niel a longtemps enchaîné les relations courtes et sans engagement. Puis, Hallie est entrée dans sa vie et elle s’est tissée au travers de sa vie – ou peut-être était-ce lui qui s’était tissé au travers de la sienne – et avant qu’il ne le réalise, il était trop tard. Amoureux, éperdument. Et tout à coup, l’engagement et l’avenir n’avaient plus rien de réellement effrayant. Au contraire. Depuis le divorce, il y a presque trois ans, Niel n’a eu que quelques histoires d’un soir, dans des moments où la solitude devenait insoutenable. Honteux, culpabilisant, il se glissait hors des draps de la quasi-inconnue à ses côtés et quittait avant les premiers rayons du soleil.
situation familiale : Fils unique, suite à la grossesse difficile qu’il fit subir à sa mère. Le couple a jugé préférable de se contenter de leur petit cocon à trois. Issus tous les deux de grandes familles, Niel a pu côtoyer un grand nombre de cousins, quelques-uns considérés comme des frères et sœurs. Il a été père.
Harper. Et il s’est demandé s’il avait réellement connu l’amour avant de poser son regard sur elle. Et aujourd’hui, il ne porte plus ce titre. Ou préfère le taire. Parce que comment être un
parent lorsqu’il n’y a plus d’enfant pour l’appeler
papa ?
péché mignon : s’il aimait autrefois s’offrir un verre d’un bon
whisky, aujourd’hui son péché n’a plus rien de
mignon. Les verres se succèdent et finissent par être mis de côté, optant plutôt pour boire à même la bouteille. Le liquide ambré dont il aimait autant la saveur riche que le brûlement dans sa gorge qui accompagnait chaque gorgée, aujourd’hui ne fait plus l’objet d’une dégustation. Il en boit du matin au soir, quand tout devient
trop. Trop douloureux, trop fort, trop sombre, trop silencieux. Et il s’offre alors l’engourdissement nécessaire pour s’oublier un peu.
saison préférée : Auparavant, il aurait probablement opté pour le printemps. La fin du printemps, juste avant que l’été ne s’installe. Sentir les rayons du soleil timides réchauffer sa peau blanchie par les mois passés cloîtré à l’intérieur. La brise qui sent bon la fraîcheur et les bourgeons qui annoncent le renouveau. Dorénavant, il préfère
l’hiver. Le temps grisâtre et la noirceur qui tombe rapidement. Le froid qui lui mord jusqu’aux os lorsqu’il ose s’aventurer dehors. Les rues désertées pour les foyers chauds. Sans oublier ce lac, ce
fichu lac qui est enfin gelé.
endroit favori : N’importe quel endroit où il peut respirer le grand air, se perdre en
nature. Il aime marcher, monter, escalader. Les randonnées en forêt, sur des sentiers imbattus. Il aime respirer l’air pur et entendre le bruit de ses bottes contre les feuilles mortes ou les cailloux. Le seul endroit aujourd’hui où peut se sentir un peu
lui-même.
à Weymouth depuis : Il a passé les étés de sa jeunesse à Weymouth, dans ce charmant cottage qui faisait office de maison de vacances aux Kusman, pourtant délaissé alors que les grands-parents étaient trop vieux pour faire le voyage et que les petits-enfants étaient devenus trop grands pour les étés entassés dans le cottage. Puis, il a passé son voyage de noces avec Hallie ici et ils sont restés. Ils ont cru y fonder leur famille, qu’ils y vieilliraient ensemble. Il est ici depuis
six ans.
traits de caractère : distant, renfermé, solitaire, attentionné, tourmenté, tendre, loyal, fidèle, cultivé, résilient, abattu, épuisé, déboussolé, insolent --
autrefois; taquin, curieux, chaleureux, charismatique, passionné, obstiné, vif.
| can't say how the days will unfold
quelle est votre définition du bonheur ? dans votre vie, vous considérez-vous actuellement comme heureux ? Il a longtemps prôné que le bonheur, ça ne se trouvait pas dans le train train quotidien. Ce n’était pas dans cette formule que la plupart adopte, à laquelle les gens aspirent. Le boulot, la maison, la famille, les enfants. Peut-être que c’était l’immaturité ou la jeunesse qui lui faisait voir l’ennui où d’autres y voient du confort, du soutien. De
l’amour – l’essentiel. Peut-être qu’il n’avait simplement jamais trouvé ce qu’il ne savait même pas qu’il recherchait. Parce que le bonheur, il l’a connu. Il l’a connu auprès d’Hallie, dans ses bras, dans leurs disputes et leurs réconciliations, dans les moments
ennuyeux comme exaltants. Et il a cru mourir de bonheur quand ils sont devenus parents, quand il était épuisé et que sa vie tournait autour de l’horaire d’un bébé entre les siestes, les couches et les biberons. Et maintenant qu’il a perdu tout ça. Il le sait que le bonheur il l’a eu, il l’a connu. Qu’il l’avait pris pour acquis. Et maintenant, il regrette d’y avoir goûté parce qu’il ne sait pas comment aller de l’avant quand il sait que le meilleur est
derrière lui.
que représente Weymouth à vos yeux ? pensez-vous quitter un jour la ville ou y rester jusqu'à la fin ? Weymouth, c’était synonyme de vacances. C’était les amis qu’ils retrouvaient étés après étés. Ceux qui ne reviendraient pas, qui ne seront qu’un vague souvenir d’enfance et ceux qui seront restés des amis pour les onze autres mois de l’année. C’était le petit cottage rempli à craquer des membres de la famille Kusman. Les oncles, tantes, cousins et cousines, les grands-parents. Puis, c’est devenu l’endroit qu’il ne visitait plus, adolescent puis jeune adulte. Occupé par sa
vraie vie et pas seulement celle du mois d’août. Puis, c’est devenu
leur chez-soi, leur maison. Décor de leur voyage de noces et finalement l’endroit où ils ont décidé de vivre. Peut-être qu’ils n’ont jamais été aussi heureux que durant cette lune de miel. Peut-être parce qu’ils croyaient que leur vie resterait ce paradis tant qu’il restait là. Maintenant, c’est l’endroit qu’il ne peut quitter. Parce que ça fait mal autant que c’est tout ce qu’il lui reste. Les souvenirs d’elles. Hallie et Harper. Et c’est l’endroit où il était toujours accompagné, d’abord de la famille élargie, puis de
sa propre petite famille à lui, à eux. Et, maintenant, c’est l’endroit où il est seul. Terriblement seul, hanté par ses souvenirs et ses regrets.
| before the dawn in the swelling of this storm
(001.) Il avait quatorze ans lorsqu’il a découvert son amour pour la littérature. Enfant actif. Il était à l’extérieur dès les premiers rayons du soleil et ne rentrait qu’une fois la noirceur tombée. Taper dans un ballon de foot, grimper aux arbres, explorer des sentiers en bicyclette ou à pied. Le monde, la
nature était son terrain de jeu. Puis, on l’a mis au défi d’escalader un arbre particulièrement haut et l’orgueil a parlé plus fort que la raison ou la peur qui lui tiraillait aux entrailles. Il est tombé, s’est cassé une jambe. C’est durant sa convalescence qu’il a trouvé réconfort dans les livres. Cloitré à l’intérieur, dans son lit grinçant, à lire les aventures incroyables d’héros. Une fois rétabli, il a su lier ses passions. Troquant son lit pour un coin ombragé sous un arbre, ou profitant des rayons du soleil sur un gros rocher, toujours un livre à la main.
(002.) Il a toujours lu et, pourtant, il n’a jamais écrit. Jamais osé croire qu’il avait en lui aussi des histoires à raconter et des univers à partager. Alors il a suivi les traces de plusieurs hommes de sa famille, son père inclus. Maçon, apprenti sous son père qui rêvassait déjà à l’idée de fonder une entreprise familiale. Ce rêve fut rapidement avorté.
(003.) Une annonce dans un journal, un concours littéraire. Une nouvelle de mille mots, un prix en argent de £250. Il a décidé de participer. Il n’a pas gagné – terminé troisième, même. Mais il a eu la piqûre. Et chaque jour il travaillait de ses mains, machinalement. Tandis que son cerveau était ailleurs, occupé à peaufiner l’histoire et les personnages qu’il mettait sur papier durant la nuit. Et il a fait le choix de décevoir son père, de quitter l’entreprise et de se lancer. D’abord des cours du soirs pour une bande d’amateur – comme lui – qui croyaient avoir un talent quelconque pour les mots et les récits. Puis, plus sérieusement, universitaires en jonglant les boulots divers et quelques trucs d’écriture rémunérés ici et là. Il aurait toujours la maçonnerie s’il devait se rendre à l’évidence que son talent ne suffisait pas. Mais il savait qu’il ne pourrait pas vivre avec lui-même s’il n’
essayait pas.
(004.) Il l’a rencontrée dans cette petite librairie presque anonyme, coincée entre deux garages automobiles, et à 2 coins de rue d’une librairie d’une grande chaîne. Le charme de l’endroit l’avait rapidement séduit et il est devenu un habitué. Elle était belle et il sentait parfois son regard posé sur lui pendant qu’il parcourait les tablettes, mais il ne l’abordait pas. Pas plus qu’un
bonjour en entrant et un
merci en attrapant sa facture et ses livres avant de quitter. Pourquoi ? Il se le demandait souvent, parce qu’elle restait gravée dans sa mémoire pour les heures, les jours suivant chacune de ses visites. Peut-être parce qu’il savait qu’il n’avait rien à lui offrir. Un peu perdu, déchiré entre sa passion et le constat accablant qu’il devrait bientôt abandonner. La peur de l’engagement, de l’
ennui qu’il voyait dans une vie rangée et monotone. C’est elle qui a fait les premiers pas, brave et solaire. Il ne voulait rien de sérieux et elle non plus. Et pourtant, Hallie s’est immiscée dans sa vie rapidement, organiquement. Sans qu’ils ne s’en rendent vraiment compte. Les rires, les querelles, la lessive et les nuits à la belle étoile ou emmitouflés et enlacés dans leur lit. Il n’y avait rien de monotone. Pas avec elle.
(005.) En l’espace de quelques jours, tout avait changé. Il l’aimait, Hallie. Il savait, il en était sûr. Il savait que c’était
elle, la femme de sa vie. Son grand amour. Celle avec qui il voulait bâtir un avenir. Il avait acheté une bague. Un truc vintage avec de la personnalité, il savait qu’elle l’aimerait et puis c’était la seule chose à peu près dans ses moyens. Puis il attendait le bon moment. Les jours passaient et ils étaient à côté de la plaque. Là où ils étaient normalement en symbiose, ils étaient décalés. Là, où ils auraient ri et balayé du revers de la main, ils se querellaient. Et un truc tout bête a escaladé jusqu’à ce qu’elle quitte son appartement en claquant la porte. Trois jours de silence radio et il est débarqué en trombe. Elle a ouvert la porte, les yeux rougies et enflés.
Je t’aime, je suis désolé. Sans trop savoir qui avait commencé, au fond. Mais, peu importe, c’était pas grave. Il l’aimait, elle l’aimait. Pourquoi compliquer, pourquoi se prendre la tête ?
Je suis enceinte, Niel. Oh. Il aurait dû paniquer. Lui qui avait peur de l’engagement, qui voyait la vie rangée comme un étau dans lequel on restait coincé et tordu jusqu’à étouffer. Mais non, il était
heureux, excité.
(006.) Ils ont été heureux tous les jours depuis ce moment à la porte de son appartement. Les fiançailles, la grossesse, le mariage, la lune de miel à se prélasser, à regarder le ventre arrondir et profiter du grand air. Inspiré par l’amour, par l’air marin, il s’est mis à l’écriture. Acharné, inspiré. Sa muse à ses côtés, elle croyait en lui. Et ils étaient si bien, si heureux à Weymouth qu’ils sont restés. Chaque jour serait aussi doux et mémorable que ceux suivant leur mariage.
(007.) (tw : décès d’un enfant, noyade) C’était une journée comme les autres. Une
belle journée. Le ciel était bleu, peu de nuages. Une journée …
parfaite. Ils étaient à l’extérieur, Harper et lui. Ils jouaient avec un ballon, ils riaient. Il la pourchassait alors qu’elle courait mêlant cris et éclats de rires. Distrait par l’appel qu’il attendait impatiemment depuis des jours. Celui d’une maison d’édition qui était intéressée par son manuscrit. Il devait prendre en note un numéro, rentrer à l’intérieur. Quelques secondes, une minute. Un regard derrière son épaule et Harper était loin de l’eau, elle jouait par terre. Un regard, un sourire.
Papa revient tout de suite, Harper. A-t-il été lent à l’intérieur ? A-t-il été plus long que prévu ? Il ne sait pas, ne se souvient plus de rien. La suite un brouillard épais. Il était ressorti et il ne la voyait pas là où elle était quelques instants plus tôt. Les appels laissés sans réponse. Le silence accablant. Et ce ballon qui flottait à la surface de l’eau.
La panique, le chaos, la noirceur. La fin.
(008.) Ils n’ont pas survécu à ça, à cette épreuve. Hallie et lui. Déchirés, inconsolables. Le chagrin les transformant et pourtant ils auraient eu besoin de l’autre, tant besoin. De la présence, la chaleur et les pleurs. L’épaule sur laquelle pleurer, se serrer jusqu’à ce que ça fasse un peu moins mal. Réapprendre à vivre, à respirer avec cette douleur dans l’âme. Mais il était rongé par les remords, il se blâmait. C’était un accident, évidemment. Mais c’était lui qui était là, lui qui devait la surveiller. Quelques secondes d’inattention et il avait permis à ce que leur vie éclate. Elle le blâmait peut-être aussi, elle ne l’a jamais dit. Mais ce n’était plus pareil, ne serait plus jamais pareil. Ils se sont éloignés et il l’a laissée partir sans se battre. Il n’avait ni la force, ni l’envie d’être le boulet qui la tirerait vers le fond, vers la même noirceur laquelle il baignait.
(009.) (tw : dépression) Il flotte, il erre. Il n’est plus l’ombre de lui-même. Il a tout perdu. Sa fille, sa femme – leur
famille, leur mariage. L’inspiration, la volonté. L’envie de vivre, de respirer. Il donnerait tout, tout pour troquer sa vie et ramener Harper. Et il vit dans cette noirceur, au milieu des souvenirs. Elles sont partout, deux fantômes qui le hantent et le tourmentent. Mais il ne peut pas partir, pas vraiment. Parce qu’il est coincé sur place, rongé par les remords. Le fardeau qu’il porte sur ses épaules. Convaincu qu’il mérite tout ça, la détresse, le vide. Le silence. Alors il encaisse, difficilement. Péniblement. Il s’engourdit et continue d’errer, comme le troisième fantôme de la famille.
(010.) Son livre a été publié, manœuvrant dans le processus machinalement. Ce qui aurait dû être le plus bel accomplissement, un
rêve réalisé n’avait plus d’importance. Puis, quelques bonnes critiques et, surtout, la tragique histoire derrière l’auteur ont suffit à en faire un best-seller. La curiosité morbide des lecteurs piquée par la tragédie. Le succès devenu un fardeau de plus. Les attentes, les contrats, les avances et les échéances. Tout se bouscule et il n’a rien. Pas de suite, pas d’idée, pas d’ébauche.
(misc.) Il traîne toujours un bouquin avec lui, glissé dans la poche de son veston ou roulé maladroitement dans sa poche arrière de pantalon. Une manie qui a souvent agacé son entourage, insulté qu’il ressente le besoin d’apporter au bouquin
au cas où alors qu’ils étaient réunis ensemble. Comme si leur présence ne suffisait pas. – Il collectionne les bouquins de seconde main dans lesquels on a écrit une note. Offerts en cadeau à un être cher, sans doute. Offrir un livre en cadeau, pour lui, représente quelque chose de très intime. Vulnérable. Et il ne peut supporter la pensée qu’on ait jeté ces livres ou qu’ils atterrissent chez quelqu’un qui ne remarquera même pas la note. Il a la manie d’écrire des remarques et notes dans les marges et interlignes des romans qu’il lit. Lui emprunter un livre est à la fois une tâche ardue puis que les pages sont encombrées de ses notes manuscrites, mais aussi une entrée privilégiée dans son esprit, dans son interprétation du roman. -- Il ne reçoit pratiquement que des livres en cadeau. Il apprécie le geste, bien que la plupart du temps il en possède déjà une (ou plusieurs) copie. Impossible pour lui de le mentionner ou refuser le cadeau. Ni l’échanger. Il se contente de le garder, souvent même de le relire. Il a d’ailleurs un bon ami qui s’amuse à lui offrir une nouvelle de copie de Twilight à chacun de ses anniversaires. – Il adore les jours de pluie, encore plus les orages. Depuis qu’il est gamin, il s’installe devant une fenêtre les nuits orageuses et combat le sommeil jusqu’à ce que les flashs de lumières stoppent. – Pourtant bon cuisinier, il ne s’aventure plus dans la cuisine. Il se nourrit de trucs congelés, rapides. Juste assez pour survivre. – Ils avaient adopté un chat errant pour faire plaisir à Harper. Lorsque sa femme l’a quitté, il a mis l’animal à la porte. Pourtant, il rôde toujours dans les parages. Il a fini par se résigner à partager sa solitude avec le chat, Louis. Il lui laisse de la nourriture et de l’eau dehors, mais l’animal semble toujours trouver un moyen de se faufiler à l’intérieur. – Il fait des cauchemars presque toutes les nuits, il en a moins conscience lorsqu’il s’endort avec de l’alcool dans le système. Alors il boit et il évite de dormir.
pseudo, prénom : jo âge, lieu de résidence : trente ans ( ), canada. type de personnage : inventé. crédits : écrire ici. avis, autres : une revenante dans les parages, après une longue pause des rp, je décide de rentrer au bercail auprès de vous.