emeria shelby
ft. adeline rudolph | let it beâge, lieu de naissance : née le 6 août 1992, cela fait
29 ans qu’elle navigue parmi les vivants, la tête bien droite, le nez bien haut sans se soucier des années passées car emeria n’y pense qu’aux souvenirs conservés, elle avance vers l’avenir emeria, c’est tout ce qui compte. née à
londres, uk, elle est de celle qui connaît tous les recoins de la ville malgré tout, y ayant fait les 400 coups durant son adolescence.
origines, nationalité : enfant de la terre, emeria est
anglaise de la tête au pied, son pays tatoué sur le cœur. quant aux origines, on le constate dès le premier regard qu’elle n’est pas entièrement
caucasienne parce que emeria, c’est la fusion d’un père
anglais à la descendance allemande et d’une mère
coréenne, des origines dont elle est fière, emeria jusqu’au bout.
occupation, situation financière : £££££, elle est bien emeria, elle se contente de peu et elle travaille toujours fort pour obtenir ce qu’elle désire, experte du budgétaire. l’informatique, elle s’y connaît, bien des titres pour son métier, le plus général et celui qu’elle donne toujours est
programmeuse et codeuse, emeria, elle aime ce qu’elle fait parce que ça ne la force pas d’avoir des conversations ennuyantes et inutiles. elle peut simplement mettre ses écouteurs et basta.
statut civil, orientation : éternelle
célibataire, les relations sérieuses se comptent sur les doigts d’une main tant elle n’en a pas eu beaucoup parce que emeria préfère butiner et qu’aussi, elle a ce petit con aveugle dans la tête, secret bien dissimulé, ce n’est pas sur le point d’être dévoilé.
hétérosexuelle, à son plus grand malheur, les hommes sont les seuls qui l’attirent vraiment emeria. ils ne sont pas dignes d’elle pourtant elle les laisse entrer dans sa vie et les autorise à laisser leur parfum sur ses draps.
situation familiale : ce n’est pas bien compliqué, elle est la
deuxième fille du couple shelby, à cette joie et ce malheur d’avoir une grande sœur
raya qu’elle aime.
péché mignon : nintendo switch, mortal kombat ou mario kart sinon rien.
saison préférée : l’automne pour les journées semi-froides, semi-chaudes. pour les feuilles qui tombent au sol. pour les
pumpkin spice de starbucks. pour l’halloween et les bonbons à profusion.
endroit favori : le confort de son salon.
à Weymouth depuis : depuis l’âge de
8 ans.
traits de caractère : ambitieuse, rancunière, franche, autoritaire, minutieuse, obstinée, passionnée, paresseuse, fidèle, jalouse, indépendante, compétitive, rusée, intelligente, froide et tenace.
| can't say how the days will unfold
quelle est votre définition du bonheur ? dans votre vie, vous considérez-vous actuellement comme heureux ? c’est une drôle de question. emeria, le bonheur, elle n’y pense pas forcément préférant laisser aller les choses. elle n’a jamais été du genre à s’inquiéter à ce niveau ou à forcer les choses parce que s’obliger à chercher le bonheur absolu, c’est une quête impossible. à ses yeux, emeria est responsable de ce qui lui apporte une dose de bonheur, que ce soit le thé chaud qui réchauffe le cœur ou même d’avoir résolu une erreur dans un code, emeria trouve le bonheur dans ce qu’elle fait, tous les jours et préfère largement profiter de la vie.
que représente Weymouth à vos yeux ? pensez-vous quitter un jour la ville ou y rester jusqu'à la fin ? elle n’est peut-être pas née.à weymouth, mais c’est sa maison. c’est ici qu’emeria a fait les 400 coups durant son adolescence, connue des voisins comme l’enfant perturbateur et toujours là pour entraîner leurs enfants dans les pires conneries. elle en a fait des conneries emeria, elle est fière de toutes ces conneries. avec le temps, elle s’est calmée néanmoins on conseille toujours de rester éloigné de sa personne. weymouth, elle est partagée quant à l’idée d’y passer le reste de sa vie parce qu’elle se dit qu’un jour, elle mérite une vie en italie à boire du vin rouge et à manger des pâtes pour le reste de son existence. pour le moment, c’est parti pour qu’elle y meurt.
| before the dawn in the swelling of this storm
-- fragile bird elle a toujours été cet enfant perturbateur, qui dérange durant les appels de ses parents, en constant besoin d’attention de la part de ceux qui l’ont conçu. un trop plein d’énergie, une envie soudaine de détruire tout sur son passage et ça, ça ne s’est pas amélioré avec les années. l’attention de ses parents, emeria en a constamment eu besoin et elle en a toujours besoin aujourd’hui, eux qui ne s’attendaient pas à ce qu’elle fasse un métier dans le monde informatique. ils s’attendaient à mieux pour emeria. emeria, elle ne se considère pas comme une déception, mais si on pose la question à ses parents, leurs réponses seraient probablement différentes de la sienne. elle les aime. ils l’aiment. par contre, il y a, depuis des années, ce fossé entre eux où ils ne se comprennent pas alors qu’emeria tente toujours de les rendre fiers d’elle. de son métier. qu’ils l’acceptent comme elle est. ce fossé, elle fait comme s’il n’existait pas alors qu’au fond, il est bien présent. il n’y qu’avec eux qu’elle est moins froide et distante.
-- teenage fantasy elle a toujours préféré la compagnie des ordinateurs que des gens, emeria. parce que même si elle se considère comme adorable, les conversations inutiles, ça la fait chier. énormément. et emeria, elle préfère largement éviter des conversations qui n’apportent rien ou très peu à son existence. emeria, c’est la meuf qui, quand elle rencontre une personne, c’est la
vibe qui compte le plus à ses yeux. et pour des raisons qui lui sont inconnues, les ordinateurs sont plus faciles à comprendre que les êtres humains. pas que cela l’empêche de se faire des amis, parce que emeria, elle est capable de s’en faire des amis, il faut simplement apprendre à la gérer. c’était plus facile pour emeria lors de son adolescence de se mélanger aux autres, de prétendre s’intéresser à leurs petites vies, aujourd’hui, emeria en a plus de difficulté pour la simple et bonne raison qu’elle se considère comme étant trop vieille pour s’accommoder aux autres. que le temps où les choses étaient faciles sont révolus depuis un bon nombre d’années. emeria, elle a toujours été de celle qui avance la tête haute, sans se soucier de quoique ce soit.
-- why’d you only call me when you’re high? elle ne connaît pas l’amour, emeria. un autre fait de sa vie. elle n’est pas de celle qui peut dire qu’elle a connu l’amour parce que ce n’est pas arrivé, encore. des relations, elle en a eu, mais elles se comptent facilement sur les doigts d’une main. une première relation quand elle a 16 ans, premier garçon à qui elle donne sa virginité en un battement de cils, premier crush dirons-t-on. il y en a eu un autre à 21 ans, des allers-retours entre eux, un amour peut-être à sens unique parce que pour emeria, peut-être était-ce seulement une distraction. un moyen de remplir ce vide à l’intérieur d’elle. et il y a eu
lui à 25 ans, toujours un aller-retour entre eux, des messages tard le soir afin de savoir si l’un d’eux était toujours réveillé.
lui, il est, jusqu’à maintenant, sa relation la plus malsaine, mais aussi celle qui a duré le plus longtemps. toujours un signe de vie quand il n’est pas entouré de sa bande de potes. c’était une relation toxique, mais n’est-ce pas celle qui font chavirer le plus les cœurs après tout ?
-- i wanna be yours elle en a conscience emeria que c’est peut-être ridicule, mais pourtant, les sentiments sont présents. pour lui. pour cette tête à claque. il est aveugle. il ne voit rien. c’est un homme après tout, qu’elle se dit emeria. mais depuis des années, elle a cette envie de le secouer pour qu’il réalise qu’elle est bien là. à l’aimer dans le silence. à ne rien lui dire, se contentant simplement d’être sa meilleure amie. de l’entendre se plaindre. de lui donner des conseils. et elle jalouse les femmes qui s’approchent trop près de lui. emeria, elle lui montre une autre facette de sa personnalité, elle est bien moins froide qu’elle l’est en général. il sait comment désamorcer sa colère. comment lui arracher un sourire. c’est bête parce que emeria, elle ne sait pas quand il ouvrira les yeux. pourtant, elle patiente, certaine qu’un jour, la réalisation se fera dans cette petite tête.
en vrac : elle appelle
mate ou
love tout le monde qu’elle rencontre (principalement parce qu’elle ne retient pas les prénoms) et les gens qu’elle connaît bien.
-- traîne toujours une paire d’écouteurs avec elle et si emeria doit accomplir une tâche quelconque, c’est avec de la musique sinon aucune productivité de sa part.
/ n’aime pas, mais pas du tout, qu’on touche à ses cheveux sans sa permission ou même elle en général.
-- n’est pas la personne la plus affectueuse au monde.
-- le sarcasme est son mécanisme de défense, utilisation à pleine puissance.
-- mémoire eidétique, elle n’oublie pas et c’est un détail qui sert merveilleusement bien dans une dispute.
-- préfère enfiler des baskets que des escarpins, vans sinon dr. martens.
-- il est préférable de lui envoyer un texto que de l’appeler, emeria est du genre à ne pas répondre aux appels entrants.
-- sifflote beaucoup.
-- aimerait apprendre à tirer d’une arme à feu.
-- le krav maga est pour elle une manière de gérer ses émotions et essaie de le pratiquer régulièrement.
-- il lui faut son café avant de lui adresser la parole sinon c’est mort.
--pseudo, prénom : golden hour, sarah. âge, lieu de résidence : 25yo, canada. type de personnage : semi-inventé, semi-pl. crédits : tumblr/pinterest. avis, autres : je remplis plus tard, j’ai des courses à faire