sirius hatcher
ft. daniel sharman | let it beâge, lieu de naissance : Trente ans. Oui tu as
trente ans et non tu ne le vis pas très bien. tu as soufflé cette bougie il n'y a pas si longtemps et tu te souviens encore du sourire narquois de ta chieuse. Le cap est passé, trente putain d'année que tu cours sur ce sol. Hélas tu n'as pas vu le jour ici même, toi tu viens d'
Exeter, ville où tes parents se sont rencontrés, ville de leur premier amour et de tes premiers cries.
origines, nationalité : cup of tea please.. oui tu es un
pur produit anglais et t'es assez fier de tes racines. Père anglais, natif de Weymouth, mère aux origines diverses, mais principalement anglaise. Tu lèves pas le doigt quand tu prends du thé.. parce que t'aimes pas trop ça. Ton accent s'entend, tu supportes tes équipes pour la champion league, en particulier Liverpool. Quoique Manchester se débrouille assez bien à ton goût. Et bien sûr t'as une descente de bière qu'on voudrait pas remonter, la base.
occupation, situation financière : £££££, on va pas se mentir, tu gagnes bien ta vie. bon t'es pas le prochain bill gates ou steve jobs mais.. non tu ne leur arrives pas la cheville. Tu touches et pas qu'un peu,
programmateur, grapheur, codeur, designeur, on peut aisément dire qu'un ordinateur n'a pas de secret pour toi.. et de manière général les appareils électroniques. C'est une passion que tu as depuis gamin, tu adores démonter et remonter à ta façon. Gamin tu voulais faire un toasteur sonic.. oui un toasteur qui grille le pain aussi vite que sonic attrape les pièces.. tu as fait cramer la cuisine, mais il faut bien un premier essai ? l'apple ne s'est pas fait en claquant du doigt. y a eu des essais avant.. logique.
statut civil, orientation : "regarde Todd s'est marié et il attend son premier enfant.. tu te souviens vous jouiez ensemble.." ce genre de phrase que tu entends TROP souvent de la part de ta mère. Tu comprends ses sous entends, tu ne dis rien, juste que ça viendra quand ça viendra. Au pire les grumeaux apporteront la fratrie avant toi. Tu n'as jamais mis cet aspect de ta vie en avant, prenant la vie comme elle vient... puis on va pas se mentir entre toi et ta main.. ok c'est une histoire d'amour, mais c'est la seule qui dure et cela depuis foooooort longtemps. T'es pas un connard, encore moins un profiteur, juste que tu n'as pas encore rencontré THE girl. Tout vient à point qui sait attendre.. et oui tu es orienté demoiselle. Les poireaux tu les digères pas vraiment... sorry not sorry.
situation familiale : Famille unie. C'est bien ainsi que tu décris ta famille, aucune famille n'est parfaite, il y a des hauts et des bas, mais tu aimes la tienne. Un père avec qui tu es extrêmement proche, une mère compréhensible et la petite sœur. Pourtant y a eu un drame le jour de ta naissance, effectivement ta mère biologique est morte en couche.. laissant ton père et toi seuls. Puis Evelynn a débarqué dans votre vie, celle que tu considères comme ta mère. S'en est suivie Calli, faisant de toi un grand frère, un protecteur. Vous êtes une famille unie, envers et contre tout et malgré la nouvelle qui vient de tomber, vous restez soudés.
pêché mignon : honnêtement tu ne saurais pas vraiment dire, une bonne soirée movie que tu partages avec ta chieuse.. accompagné d'un donuts mais il est particulier ce donut il a du kit kat intégré dedans. Après tout dépend du point vue, un pêché mignon peut-être aléatoire, tu adores te faire une petite game en rentrant du boulot avec une petite bière par exemple.
saison préférée : Sans conteste : l'automne, courir entre les feuilles qui tombent un délice. Les couleurs te plaisent et puis c'est une saison qui revient peu cher. Que demander de plus ?
endroit favori : On ne peut pas dire que tu t'attaches aux chose ou à un lieu, mais cependant tu aimes te retrouver sur la piste. Courir ça fait parti de toi, tu aimes aussi allé dans les bois, mais la piste ça reste ton endroit, tu t'évades, ton cerveau se vide et tu te sens bien. Très bien même.
à Weymouth depuis : Coup de coeur. Voilà ce qu'il s'est passé il y a environ vingt ans, tes parents ont eu un coup de coeur pour une maison. Votre maison. Ils ont décidé de tout quitter et de venir s'installer ici, la parfaite maison pour débuter leur entreprise. Ta mère était enthousiaste à cette idée, tu t'en souviens, tu avais que dix ans à l'époque.Toi et les grumeaux êtes arrivés dans cette grande maison.. oui bon à l'époque elle te paraissait bien plus grande.
Vingt ans que la seconde famille Hatcher est installé ici, oui seconde car le frère de ton père vivait déjà ici avec sa petite famille. C'est d'ailleurs après un weekend en leur compagnie qu'ils sont tombés sur la maison, celle qui allait devenir le lieu de plein d'aventures.
traits de caractère : Sportif - têtu - obstiné - battant - téméraire - bon vivant - altruiste - débrouillard - patient - calme - jovial - assidu - convaincant - dévoué - inventif - déterminé - créatif - rassurant - motivé - rusé - joueur - ouvert d'esprit - passionné - surprenant - craintif - méfiant -
| can't say how the days will unfold
quelle est votre définition du bonheur ? dans votre vie, vous considérez-vous actuellement comme heureux ? On va pas se mentir cette une question à laquelle tu t'es jamais posé. Pourquoi ? T'en sais trop rien, juste que tu n'as jamais ressenti le besoin. Peut-être parce qu'au fond ça voulait dire que tu étais ou du moins es heureux. Aujourd'hui tu peux dire que tu es heureux, tu as une famille aimante, un bon job, un toit sur la tête. Tu es en bonne santé, tu as de bons amis.. oui tu as tout pour être heureux, mais .. une tuile vient de tomber du toit et remet tout en jeu.. et si au final ton bonheur n'était qu'éphémère ? Et si tu n'avais pas assez profité de ce fameux bonheur..
que représente Weymouth à vos yeux ? pensez-vous quitter un jour la ville ou y rester jusqu'à la fin ? Pour citer une série de ta sister, il n'y a qu'un Weymouth et c'est le tien. Là où tu as grandi, là où tu te sens chez toi. Tu as déjà quitté la ville, pour tes études, pour des voyages et tu es toujours revenu. T'es pas le genre de gars qui rêvait de plus, d'évasion ou autre.. non si tu voulais faire quelque chose : tu le faisais. Tu as eu une offre d'embauche dans une ville juste à côté de chez toi. Raison pour rester. Puis dans le fond tu te sens très bien ici, on va pas se mentir, tu as tes habitudes, ta routine. C'est que t'es presque un vieux garçon en regardant ainsi.. presque il te manque juste les pantoufles et la pipe. Le journal tu préfères le lire sur ton téléphone, plus rapide et économique.
| before the dawn in the swelling of this storm
Run boy run! This world is not made for you
Run boy run! They're trying to catch you
Run boy run! Running is a victory Expire. Inspire. Deux mots. Deux simple mots, que tu répètes. Cercle vicieux qui te permet d’oublier. Oublier ce qui te tracasse vraiment. Ce qui fait que tu es là. Ton coeur s’emballe. Tes pas sont plus rapide. Plus léger, enfin ça c’est ton avis. Tu te sens libre lorsque tu tu foules cette piste. Corps libre, mais pas ta tête. Évacuer voilà ce que tu essaies de faire. Flash qui te reviennent en mémoire. Tu essaies de penser à autre chose.. mais c’est plus fort que toi. Ces images de lui et toi, tes débuts, la première fois que tu as vu un terrain, une piste.. ce rouge que tu foules en ce moment même.. ce sourire. Bon sang ce sourire, tu veux pas. Tu te refuses… accélérant le pas. Tu continues dans ta lancée, plus vite.. t’as besoin d’oublié. Tu as aussi besoin de crier, mais rien ne sort. Rien ne vient, alors tu continues. Tu pousses ton corps au-delà de ses limites. Tu ne veux plus t’arrêter.
« inspire, expire… papa j’ai peur… - tu vas y arriver ne t’en fais pas. » levant tes petits yeux bleus vers cette voix qui t’inspire. Ce héros, ton héros. Tu aimes le regard qu’il porte sur toi, la confiance qui s’y dégage. Tu souffles un bon coup, il en fait de même, te montrant la marche à suivre. « et surtout tu n’oublies pas – inspire, expire » que tu lui dis, terminant sa phrase. Un sourire qui se dessine, une main qui vient ébouriffer tes cheveux et tu prends place. Te répétant ces deux petits mots. Inspire. Expire. Tes pas s’emboîtent, se suivent.. bon sang que tu es bien. Ce qui t’entoure n’existe presque plus.. «
je savais que tu serais ici. » tu t’arrêtes net au son de cette voix. Ta mère. Elle t’arrache à tes souvenirs. À vos souvenirs. Tu étais venu ici pour oublier et au final te voilà encore plus perdu.. perdu dans les limbes de tes pensées. «
t’es parti vite. » elle se rapproche de toi, tu ne sais pas quoi lui dire.. elle a raison. Mains sur les côtes, reprenant doucement ta respiration. Un souffle après l’autre.. retour à la réalité. Tu l’aimais bien ton souvenir, mais voilà ce n’est qu’un souvenir.. un souvenir qui va. Tu te stoppes direct, refusant de penser ainsi. «
désolé. -
je comprends. Tu sais que tu peux me parler. » son regard dans le tien. Elle est forte, oh oui elle est forte ta mère. Elle arrive à maintenir cette famille hors de l’eau avec cette nouvelle.. pourtant tu vois la peine dans son regard. La douleur. Tu sais qu’elle a peur. Ils sont inséparables et cela depuis le jour de leur rencontre à l’université.. histoire que tu as entendu maintes et maintes fois. Et pourtant… pourtant tout peut s’arrêter. La question est quand. Et tu ne veux même pas savoir, la réponse te fout les boules. « allez viens, j’ai de la tarte à la maison. En espérant que les jumeaux n’aient pas tout mangé. » elle t’attrape par le bras, dépose un baiser sur ton front. Une fois de plus elle se veut rassurante, protectrice. Le rôle d’une mère, celle qu’elle a toujours été. Ton souffle qui revient doucement à la normal.. pourtant toi la normalité t’as pas envie d’y retourner…
This deadly burst of snow is burning my hands,
I’m frozen to the bones, I am
A million mile from home, I’m walking away
I can’t remind your eyes, your face Espoir. C’est ce que tu as ressenti ce matin lorsque ta mère t’a appelé. Espoir que vous sortiez de cet torpeur. Ce sentiment qui ne t’a pas quitté, qui t’a redonné le sourire. Oui tu as espoir que tout redevienne normal. La normalité que vous aviez avant que ce cauchemar arrive … assis là, tu attends. Vous êtes tous là, attendant la confirmation… attendant l’espoir de le revoir. Lui il ne bouge pas. Tu lui tiens sa main, à sa gauche. Ta mère qui fait les cent pas, l’agitation qui règne dans son cerveau se ressent. Elle a aussi l’espoir, tu l’as entendu dans sa voix ce matin lorsqu’elle t’a dit.. Lorsqu’elle t’a dit qu’il avait bougé. Tu le regardes. Cherchant ton père, il est bien là. Face à toi, du moins physiquement, mais.. «
alors. » que tu dis en sautant sur le médecin à peine est-il rentré dans la pièce. En temps normal tu es le plus patient de la famille, c’est toi qui t’occupes de toutes les choses lentes.. qui hérissent les poils. Seulement là, l’espoir t’accapare, elle a fait de toi son hôte. Elle te consume un peu trop, t’en sais rien.. tu as juste envie de le revoir. De chanter avec lui, de le voir danser avec ta mère.. de l’écouter te parler durant des heures de ses histoires de jeunesse.. juste de le revoir sourire. Son sourire si chaleureux, si réconfortant.. celui qui se veut encourageant et «
j’ai bien peur que rien n’est changé.. il se peut parfois que certains patients aient des réactions de ce genre, mais.. » les mots se mélangent dans ta tête. Non. Non. Tu n’acceptes pas la suite, tu ne veux pas. Tu te souviens du jour où vous êtes venus ici. Des mots qu’il a balancé, un discours que tu comprenais à peine. Une maladie.. une maladie particulière qui est arrivé d’un coup, comme un cheveux sur la soupe. Tu aurais préféré cette option. «
ses neurones continuent de se détériorer, j’ai bien peur... » ta mère qui ne bouge plus, la main sur l’épaule de ton père. Ton père qui est là, à tes côtés.. tu ne comprends rien. Pourquoi lui ? Pourquoi vous ? Vous aviez tout, enfin tout ce qui suffit à rendre heureux. Des parents qui s’aiment.. tu souffles intérieurement. Non tu n’acceptes pas cette sentence pourtant tu n’as pas le choix. Ton père est atteint de cette foutue maladie, une maladie dégénérative rare.. elle attaque ses neurones et le rende… légume. C’est le mot qu’on pourrait utiliser. Il est présent avec vous physiquement, mais à l’intérieur.. rien. Il ne parle plus, ne danse plus, il n’est plus. Et ça.. ça tu as dû mal à l’accepter.. parce qu’une vie sans ton père.. à tes yeux c’est juste impossible. Pas sans ton modèle, ton héros, t’as besoin de lui. Il a tellement de chose à t’apprendre, alors pour l’heure tu te contentes de serrer sa main. Parce que tu sais. Tu sais qu’au fond il est là.
Is there anything I could do
Just to get some attention from you
In the waves I've lost every trace of you Tes doigts dansent devant ce clavier. Tu appuies, puis tu effaces. Tu recommences, songes, effaces et remets. Cercle vicieux. Seulement celui là, il ne t’effraie pas. Oh que non. Lui tu le maîtrises, du moins en partie, rien n’est simple dans le monde du code. Te mettre à fond dans ton boulot, c’est ce que tu sais faire. Tu l’as toujours fait. Après tout, tu es bon dans ce que tu fais, les ordinateurs te parlent comme les appareils ménagers. Assis à ton bureau, tu pianotes, dans quelques jours vous devez sortir un nouveau projet. Le grand patron de la boîte va passer et pour l’heure.. tu avances bien. Doucement mais sûrement, tu sais que tes codes sont bons. «
Hatcher, à quoi tu penses ? Oh je sais à cette nana du film d’hier soir. Tu peux toujours rêver, jamais elle sera réel. Sors un peu la main de ton caleçon et reviens sur terre. » tu lèves les yeux de ton écran. Ta chieuse. Ta chieuse à toi, celle qui ne cesse de t’ennuyer tous les jours.. et cela depuis le premier jour. Parce que oui, vous vous êtes rencontrés le premier jour. Votre premier jour, elle était nerveuse, seule nana et elle a su s’imposer. La preuve c’est elle le chef de projet, on peut aisément dire que tu es sous ses ordres, elle aime bien te le rappeler. Ta meilleure amie, partenaire de crime, mais surtout de film. Tu bailles légèrement en fermant l’écran, «
bah vas-y dis que j’te fais chier ! » Em’ dans toute sa délicatesse. Tu souris «
café ? » que tu lui dis gentiment. Elle te suit parce qu’elle ne sait pas dire non à un café. «
j’ai réfléchi.. -
parce que ça t'arrive ? à quoi à la nana ? -
non pas à ça, même si permet moi de te dire qu’elle pourrait être réel. » ses yeux partent en direction du plafond. Elle doute de toi et ton charme.. «
non je parlais au code, fin surtout à la présentation, tu sais qui va la faire ? » elle te tend une tasse bien bouillante, de quoi réchauffer ton cerveau.. légèrement endormi. Il faut dire qu’en ce moment, tu ne dors pas très bien. «
hum.. j’sais pas une nouvelle recrue, j’sais plus son prénom.. j’sais juste qu’elle est.. -
magnifique. » tu finis sa phrase. Tu peux sentir son regard sur toi. Seulement toi tu es éblouie par cette présence, cette silhouette qui vient de rentrer dans la pièce. Tu en oublies presque ce qui se passe autour de toi. Presque parce qu’on va pas se mentir, elle est pas facilement oubliable. «
eh oh j’te dérange ? » se postant devant toi ou plutôt s’imposant à toi. «
et sinon ton père ça va ? » où comment te ramener à la réalité en un claquement de doigt. «
j’y ai cru, mais les médecins sont radicales.. il lui reste peu de temps. » buvant une gorgée. Tu ne veux pas voir son regard. Tu sais qu’elle ne te regarde pas avec pitié, mais plus compassion. Seulement tu ne veux pas, tu n’es pas prêt pour ce regard. Pour tout ce qui va avec.. te raclant la gorge, tu préfères mettre ce sujet de côté et repenser à la petite silhouette qui a franchi la pièce y a encore quelques secondes.. doux rêve.
pseudo, prénom : still the same. Cha. âge, lieu de résidence : toujours dans le nord bon si on se fit à KL c'est pas ça, mais pour moi oui, toujours majeur, vacciné et EXACTEMENT comme Sirius . type de personnage : inventé, de moi pour moi enfin pour vous crédits : tumblr.avis, autres :merci à vous de me redonner goût à l'écriture, ça faisait longtemps que j'avais pas été inspiré comme ça J'espère que Sirius vous plaira autant qu'à moi