Theo Lovegood
ft. miles teller | let it beâge, lieu de naissance : premiers flocons qui tombent, vent qui souffle. premier cris perçant et pas le dernier. c'est par un beau matin d'hiver,
le vingt quatre janvier de l'an 86 pour être précis. douleurs dans les entrailles de ta mère, mais douce chaleur au fond du cœur. père heureux d'avoir sa descendance qui pointe enfin le jour. retard que tu as mis, désiré que tu étais. fierté des parents. joie d'avoir un fils.
gamin du coin, tu respectes les tradition familial. à l'inverse de ta sœur tu n'as pas vu le jour dans la chambre parental.
origines, nationalité : mère qui adore le thé et lève le doigt lorsque sa tasse fume moins. père qui rêve d'horizon, de grandeur depuis son enfance, qui a fait son propre rêve américain ici. il n'a cependant pas renié ses origines, sang anglais qui coule dans ses veines depuis des générations, fierté de ses origines. tu n'y échappes donc pas. tu ne lèves cependant pas le doigt en prenant le thé, d'ailleurs tu préfères le café.
anglais que tu es et qu'on ne croirait pas, pourtant c'est le cas. tu n'as jamais pris le temps de faire ton arbre généalogique mais tu as un soupçon d'origine suédoise de par ta mère, mais ça remonte à loin. trop loin pour que ça soit pris en compte à tes yeux. Apparemment du côté de ton père tu aurais des origines
'juive ashkénaze' mais une fois de plus t'as pas été vérifié.
occupation, situation financière : £££££, hochet en argent, nounous qui se succèdent, domestiques pour que maman n'aie pas à faire les tâches dites 'ingrates'. tableaux de famille avec les beaux habits du dimanche. sourire à tout va, ainsi que poignée de mains par-ci, par-là. sphère de luxe, appât du gain. oui tu n'as jamais manqué de rien et tu ne comptes pas changer la donne. tu aimes l'argent et l'argent t'aime. tu aimes les privilèges et la notoriété. tu aimes les entrées vip -même si dans le coin ça se fait peu, à l'inverse des grandes villes-. ton père a fait fortune grâce à son entreprise, aujourd'hui il est actionnaire dans diverses entreprise, ainsi que rentier, homme d'affaire accomplis qui se lance dans la politique incessamment sous peu. toujours plus comme il dit.
toi tu as repris le flambeau de la boîte de pub. pdg un titre que tu aimes bien. respect qui va avec.
statut civil, orientation : jamais en relation sérieuse, toujours une bimbo à tes bras. tu les aimes facile, simple d'esprit et très bien sculpté. ta réputation n'est plus à faire, tu aimes les femmes et elle t'aime. tu aimes plaire et tu plais. tu aimes collectionner les femmes et elles le savent. jusqu'ici aucune n'a jamais capturé tes pensées. aucune n'a réussi à se faire un chemin dans ta tête et surtout dans ton cœur. ce dernier est fermé à double tour. ne jamais montrer ce que l'on ressent. adage que tu as appris durant ta tendre enfance. on pourrait te dire connard avec ces demoiselles, mais tu n'as jamais caché ce que tu voulais. ce que tu désirais. elles sont juste un trophée, rien de plus. tu aimes te trimballer avec une jolie 'poupée' à ton bras, futilité et surtout apparence.
situation familiale : aîné, fils 'prodige' tant attendu. fierté de ses parents, surtout de son père. parce qu'il faut un trophée enfantin, un fils qu'on peut montrer la réussite. un objet qu'on peut contrôler, dictée sa loi. tu es conscient de tout ça, mais tu t'en moques. tu respectes les codes qu'on t'a appris, tu les appliques à ta façon. à présent tu fais aussi tes propres règles, tu les manies à ta guise. protecteur que tu es face à ta cadette. à cette princesse oubliée, cachée mais qui existe. celle qui vit dans ton ombre, celle que ton père regarde à peine. parce qu'elle est du sexe opposée, qu'elle ne peut pas assumer les mêmes fardeaux/attentes que toi. toi tu l'aimes, mais tu lui montres à ta manière. anna et sa douceur. anna et ses rêves. anna et ses idéaux.
anna et toi. parents existant à leur manière. mère absorbé par ses associations, ainsi que son poste au sein d'une grosse chaîné de télévision. père débordé, autoritaire et surtout qui dirige sa tribut comme bon lui semble. bien sûr qu'il y a de l'amour dans cette famille, mais on montre rien. parce que ça ne se fait pas. parce qu'on ne doit pas.
péché mignon : les femmes ? c'est ce qu'il vous dira, parce que c'est sa réputation.parce qu'il se doit de cacher les apparences. parce qu'il n'aime pas montrer qui il est vraiment. parce que s'il doit choisir il dira
les kanelbullars, pâtisserie que la cuisinière faisait durant ton enfance. pâtisserie suédoise. triste que tu es au fond de ne plus en manger car cette fameuse cuisinière ne travaille plus chez vous. elle seule savait comment les faire et surtout t'en donner en secret. parce qu'il ne faut pas sympathiser avec le personnel.
saison préférée : la chaleur. les jupes courtes. les hormones en ébullition.
tu aimes l'été et sa légèreté. ce que ça dégage chez les gens. les odeurs qui s'en dégagent dans les jardins. les journées qui se rallongent. les jeux sur la plage. le temps qui file sans qu'on s'en rende compte. simplicité des jours. esprit qui se fait plus taquin, plus frivole.
endroit favori : étrangement tu dirais
la plage. les grains de sable qui se coincent entre tes doigts de pieds. les vagues qui s'échappent, se claquent contre les rochets, se laissent guider par la fougue du vent. son qui t'apaise. liberté que tu ressens en étant là-bas. tu n'as pas besoin de masque, encore moins de faux-semblants, tu t'assoies et contemplent cette beauté crée par mère nature.
à Weymouth depuis : gamin du coin, tu connais cette ville comme ta poche. curiosité de ton enfance. terrain de jeu de ton adolescence. tu as vogué vers la capitale le temps de tes études, mais tu es revenu pour reprendre les rênes de l'entreprise. être à la tête d'une société qui te plaît. et oui tu n'as pas commencé par le bas, pourquoi faire ? tu sais ce que tu vaux.
traits de caractère : beaucoup de critères peuvent définir l'homme que tu es, con, manipulateur, égoïste sont les premiers défauts qui reviennent lorsque l'on parle de toi. on va pas se mentir ça te définit bien, tu ne nies pas qui tu es, tu sais que tu es ainsi. tu sais aussi que tu ne supportes pas qu'on te dise non, tu aimes relever les challenges, tu ne supportes pas l'échec. têtu c'est aussi un trait de ton caractère, l'acharnement, la perfection, tu as grandi dans cette image. celle où doit être parfait, que tu ne dois rien montrer, surtout pas tes sentiments, quitte à paraître froid, distant, imbus de toi même. tu as appris à cacher ton autre personnalité, celui du frère protecteur, inquiet pour sa cadette, doux par moment. celui qui a un cœur et qui essaye de le montrer. essayer est le verbe parfait pour décrire ce que tu tentes parfois, tu n'aimes pas montrer ce côté de toi. montrer que tu es doux, attentif, intelligent, bon ce dernier point les gens le savent. tu n'es pas juste un gamin de riche, tu as des capacités, tu n'es pas arrivé au sommet rien qu'en claquant des doigts. bien sûr que tu en as dans le ciboulot, tu sais où te diriger et n'a pas peur d'accomplir tes rêves. c'est peut-être pour ça que tu optes pour des demoiselles futiles, qui ne servent à rien juste à faire bien à tes bras. pourtant tu t'ennuies en leur compagnie, mais tu les choisis comme ça. et ça te va. tu es aussi quelqu'un de fidèle dans tes amitiés, tu peux tenir tête à ton père pour certaines relations. ce n'est pas quelque chose que tu fais facilement : tenir tête à ton père. homme complexe aux multiples paradoxes, qui se plaît dans ses faux semblants parce qu'après tout c'est ainsi que tu as évolué et construit.
| can't say how the days will unfold
quelle est votre définition du bonheur ? dans votre vie, vous considérez-vous actuellement comme heureux ? question que l'on t'a déjà posé lors d'une interview et la réponse ? Eh bien
"Le bonheur est un état ressenti comme agréable, équilibré et durable par quiconque estime être parvenu à la satisfaction de ses aspirations et désirs et éprouve alors un sentiment de plénitude et de sérénité." c'est ainsi que tu as commencé, en donnant la définition du bonheur. Est-ce que tu te sens heureux ? Absolument, tu as tout pour toi, la beauté, l'argent, les plaisirs, la réussite. Tu rêves parfois de claquer des doigts et obtenir la chose tant convoitée. Alors oui tu te considères heureux. Simple et efficace, tu n'es pas le genre de mec qui va philosopher durant des heures sur la question, sur ce que tu peux ressentir ou non. Ce que tu considères d'heureux ? Ta réussite, les choses que tu as obtenu, les challenges que tu as réussi. Ta vie te remplit de bonheur, voilà ce que tu as fini par répondre à la journaliste. Tu aurais pu lui demander son numéro, elle était jolie, mais bien trop intelligente..
que représente Weymouth à vos yeux ? pensez-vous quitter un jour la ville ou y rester jusqu'à la fin ? Celle-ci on te l'a jamais posé et tu t'y es jamais penché dessus. C'est la ville où tu as grandi, fais tes premiers pas, arcs. Tout le monde a ce genre de ville dans son coeur, là où tout a commencé, là où la vie a prit un sens. C'est ici que tu as fondé les premières marches de ta vie, tu as quitté Weymouth pour tes études, tu es resté un certains temps dans la capitale. Tu aurais pu y rester, là-bas tout te plaisait, l'ambiance, les distractions nocturnes. Pourtant tu es revenu, pour les convenances parce que ton paternel avait besoin de toi. Tu as pris les rênes de l'une de ses entreprises, ça te va amplement. Est-ce que tu comptes rester ici pour le restant de tes jours ? Tu ne t'es jamais posé la question, on verra bien ce que l'avenir te réservera. Tu sais que ton devoir est ici pour le moment, que tu as fait ta place et que tu t'y sens bien. Peut-être qu'un jour où tu iras voir ailleurs, t'installer ailleurs, mais ce n'est pas dans l'ordre du jour.
| before the dawn in the swelling of this storm
The world was on fire and no one could save me but you
It's strange what desire will make foolish people do
I never dreamed that I'd meet somebody like you «
Theo souris, ne gâche pas la photo. » cheveux bien peignés. Peau qui brille. Sourire éclatant, digne d’une pub. Main sur l’épaule. Nœud de cravate parfaitement noué. Costume impeccable, pas un plis de travers. Perfection. Mot qui doit se ressentir en voyant la photo. Pose habituel. Gestuelle robotisée. Mots qui se répètent, sourire, ne rien faire de travers. Tu es habitué à tout ça, c’est devenu ton quotidien, certains diraient ton enfer personnel. Peut-être. Les phrases de ton paternel ne t’affecte plus, tu es habitué, celle-ci qu’est qu’une partie tant d’autres. «
fais attention Theo. » jamais un sourire, jamais une voix douce. Toujours sec. Toujours des reproches. «
Theo tu penses à ton avenir ? C’est quoi cette note ? » toujours l’excellence, jouer pour être le meilleur ou rien. Viser le haut, ne jamais rester dans la case du milieu. «
Tu as pensé à mon image ? À ce qu’on va dire de moi ? » et bien sûr le masque. Sa réputation. Ce que les gens diront ou ne diront pas. Ce que les gens pensent de lui, de toi, de vous. De la famille Lovegood. Parce qu’il faut paraître, montrer la réussite, l’accomplissement, qu’il en faut pas de faille. Que ça doit rester beau, qu’on doit vous enviez. Un homme qui rêvait grand dès son plus jeune âge, un anglais qui avait des rêves de conquête. Digne d’un américain. Un anglais qui a fait fortune dans son trou natal. Un gamin qui est revenu pour prouver aux autres de quoi il était capable. Un empire qu’il a construit. Une belle femme à son bras, intelligente, déterminée comme lui. Une famille qu’ils ont fondé. Toi. Anna. Toi qui doit montrer ce que représente la famille Lovegood. Toi qui doit assurer. Parce que tu es la relève. Tu ne dois pas échouer, ce mot ne fait pas parti de ton vocabulaire, pire encore : du sien. Alors oui tu pourrais le détester ce père autoritaire, froid, distant.. tu devrais le haïr pour ce qu’il a fait de toi. Un jeune homme égoïste, sûr de lui, mesquin et tellement d’autres adjectifs peu flatteur, mais tu n’y arrives pas. Tu n’y arrives pas parce que tu sais quel homme il est. Tu sais que derrière cet homme se cache un père. Un père qui n’a pas toujours montré le bon exemple. Parce qu’on ne doit pas montrer ce que l’on ressent, qu’on ne doit pas s’apitoyer sur son sort. Et par dessus tout : les effusions ça ne se fait pas. Éducation ancienne, éducation d’une société anglaise révolue, mais éducation Lovegood. Une éducation qui a porté son fruit, puisque tu es fier de qui tu es, au grand diable des commérages. Tu sais que ce père n’a pas toujours été froid, qu’il a toujours fait son possible pour assister à tes matchs de foot ou crockett. La fierté ne se lisait pas sur son visage, mais tu savais au fond de lui qu’il l’était lorsque tu gagnais. C’est aussi le père qui te veillait les nuits de rhume, qui restait dormir dans le vieux fauteuil dans le coin de ta chambre. Lui qui pensait que tu ne le savais pas, erreur, parce que tu t’es déjà réveillé et que tu l’as vu. Cet homme si froid, présent, inquiet. Alors oui tu as beaucoup de responsabilité, mais tu t’en moques. Bien sûr que tu aurais pu grandir autrement, avoir plus d’amour, donner plus d’amour. Faire fonctionner ce cœur, lui permettre de sortir de sa cage. Lui donner vie autrement qu’en cachette.. parce que tu n’aimes pas être cet homme sensible.. protecteur, comme tu l’es avec ta sœur. Parce que c’est montré ses faiblesses et tu as horreur de ça. Relever la tête et avancer..
pseudo, prénom : j'ai plus de pseudo fixe, mais ici c'est lily et si on est intime tu sauras . âge, lieu de résidence : on ne demande pas l'âge à une femme, les bones manière sont pas faites pour les chiens type de personnage : inventé, crédits : tumblr. avis, autres : vous allez adorer détester theo mais il est plus gentil que joeffrey .