edwin goldstein
   ft. sam claflin | summertime sadness
   trigger warning : décès, deuil refoulé, distant des sentiments

âge, lieu de naissance : Les rossignols chantent, l'amour éclate de partout et toi tu pointes le jour. C'est par un certain quatorze février de l'an 89 à Weymouth que tu naquis, enfin 'vous' (deux pour le prix d'un), faisant pour la seconde fois la 'joie' de la famille Goldstein. origines, nationalité : L'accent anglais qui s'entend lorsque tu parles, fier de tes origines, tu ne peux guère les renier. Cela s'entend dans ta prononciation, dans certains de tes gestes. Ton père est anglais, ta mère suédoise, malgré ce mélange, le sang anglais coule dans tes veines depuis des années. Pur produit anglais, avec quelques notes écossaises, irlandaises, suédoises et galloises dans tes origines profondes. occupation, situation financière : £££££, tu avais tout et du jour au lendemain te voilà sans rien. Adieu le magnifique compte en banque. Adieu le métier de rêve. Adieu le superbe loft. Adieu la splendide réputation. Tout ça est parti en fumée à cause d'un associé de ton père. Pourquoi tu as été impliqué ? Parce que ton nom était sur des papiers, parce que tu portes le nom de ton père. Parce que la vie est une garce. Aujourd'hui tu n'as plus rien, tu vas te relever, ton nom a été souillé ... tu vas devoir te tourner vers le bas peuple et diantre que tu as mal...  statut civil, orientation : Une case qui n'a jamais été comblé, coché, une perte de temps à tes yeux. L'amour, tu lui as jamais laissé une chance, tu lui tournes le dos. Tu ne désires pas t'attacher, les femmes ne sont que plaisir éphémère pour toi. situation familiale : Les Goldstein, un nom, une famille, une éducation religieuse et stricte. Une mère et un aîné disparu bien trop tôt.Un père qui comble le manque par le travail, une princesse qui ne tient pas en place. Une jumelle qui disparaît. Puis toi. Toi qui leur a tourné le dos, toi qui déteste ton père. Toi qui va devoir cohabiter avec eux. Toi qui va devoir apprendre à connaître tes sœurs, ainsi que ta nièce..  péché mignon : Tu n'es pas du genre à t'extasier sur la vie, tout ce que tu veux, tu le prends. Pourtant tu as toujours aimé la musique, le jazz en particulier, avant tu avais une collection de vinyles.. tu as gardé l'un de tes préférés en quittant New-York.  saison préférée : Pour toi le temps n'est guère important, qu'il fasse beau ou pas, ça te passe complètement au dessus. Tu as grandi avec la pluie, puis tu as découvert le brouillard et la pollution urbaine. Gamin tu adorais regarder la neige tombée.. innocent que tu étais à cette époque. endroit favori : Nul part, tu ne portes pas cette ville dans ton cœur, enfin ça c'est ce que tu aimes dire et penser. Ton fort intérieur garde au chaud les souvenirs de cette cabane que ton frère et toi aviez construit dans la cour familiale. à Weymouth depuis : toujours, lieu de naissance, même si tu as quitté la ville durant tes études, puis par la suite pour percer dans la grande pomme (new-york). Retour depuis moins d'un mois, contraint par les autorités de retourner au logis familiale. traits de caractère : manipulateur - persévérant - rabat joie - leadership - obsessionnel - impulsif - intransigeant - hautain.

   
   quelle est votre définition du bonheur ? dans votre vie, vous considérez-vous actuellement comme heureux ? Le bonheur, tu t'en es jamais vraiment soucié jusqu'à récemment.. jusqu'à ce que tu perdes tout. Là tu as compris que ton bonheur a toi se trouvait sur le nombre de zéro que tu avais sur ton compte en banque. Oui l'argent était ton bonheur et alors ? Tu avais tout et tu n'as plus rien. Est-ce que tu es heureux ? La question ne se pose même pas, elle se lit sur ta tête, même si beaucoup de personnes se le sont toujours demandés.. non tu n'es pas heureux et tu te souviens plus exactement du dernier jour où tu as été heureux et insouciant..

   que représente Weymouth à vos yeux ? pensez-vous quitter un jour la ville ou y rester jusqu'à la fin ? L'enfer. Cette ville représente le désarroi pour toi, la fin d'un mythe, la décadence de ton toi. De l'être que tu étais.. bien sûr que tu as eu de bons moments par ici.. surtout dans ton enfance, un temps qui est révolu à présent.. une époque fort lointaine, tu as fait un trait sur tout ça. Aujourd'hui tu es de retour, tu n'as guère le choix.. tu supportes pas ces regards sur toi, ils savent, il savent que tu n'es plus cet être que tu as été ... ils se privent pas pour se moquer de toi et cela te débecte.

   
— Les feuilles tombent, les mines sont baissées, l’évangile vocifère ses saintes paroles, puis une goutte atterrie sur ton visage. Tu relèves doucement la tête, la météo a décidé de suivre l’humeur de ton être. Perdu que tu es, face à ce cercueil. Incompréhension dans chacun de tes traits et ce ‘pourquoi’ qui te brûle les lèvres. La frêle main de ta sœur dans la tienne, ce qui sera le dernier vestige de ton âme en perdition… tes iris finissent par revenir vers le centre de l’attention : ces cercueils. Ton frère et ta mère, perdus à tout jamais. Un père qui reste de marbre. Un père qui vient pourtant de perdre deux être aimés. Un père qui garde la tête haute, parce qu’on ne doit pas voir sa souffrance. Souffre-t-il vraiment ? Cette question tu te l’es posé plus tard.. mais ce jour-là tu ressentais juste un vide. Un trou s’était formé dans ta poitrine, un manque que tu ne combleras jamais. Une déchirure dans ton être, un changement qui s’opéra par la suite. Effectivement ce jour-là, tu as tourné le dos aux sentiments, à la gentillesse, au petit garçon que tu étais. Tu as laissé la haine, l’amertume et la rébellion envers ton patriarche surtout, ainsi que la terre entière, prendre le dessus de ton âme. Cette terre allait devenir ton terrain de jeu, les gens ne seraient et sont toujours que de vulgaire pions pour toi. Tu n’as jamais perçu pourquoi tu devrais t’attacher à eux, ça ne sert strictement à rien.. Gamin qui grandit, adieu l’enfance, bonjour l’adolescence. Ton rôle de cadet qui s’effaça pour prendre celui de l’aîné, un rôle que tu n’avais jamais demandé. Lui était l’aîné, lui était ton partenaire. Parce que l’un n’allait pas sans l’autre sauf qu’un accident t’a fauché cet être aimé… ton frère. L’adolescent que tu étais a pris grand soin de suivre ses frasques, voir même plus. Tu as vite compris que ta bouille t’amenait plein de privilège. Une bouille d’ange, mais le diable au corps, c’est ce qui t’a permis de te sortir de bons nombres de conneries. Ça et bien sûr l’argent de ton père. Lui qui ne voulait pas que tu entaches l’héritage familiale, sa réputation. Gamin loin d’être idiot, plutôt intelligent, tu as su gravir les échelons avec prestige. Les grandes universités t’ont accueillis à bras ouverts, hésitant sur la matière qui t’élèvera, préférant les soirées mondaines, l’alcool et tout ce qui s’en suit. Un train de vie qui te plaisait fortement, rien ne se voyait,élève brillant le jour, fêtard notaire le soir. Le temps passant, tu es devenu exigeant avec toi même, ainsi que les gens qui t’entouraient, te servant toujours d’eux. L’amitié, l’amour rien que des futilités pour rien, assez doué de tes mots pour faire croire aux gens que tu les apprécies, assez pour qu’ils te fassent confiances. Tu as fini par devenir architecte, reconnu de tes paires, te faisant une place en or sur un autre continent. Tu étais bien, très bien même.. et puis ils ont débarqué. Retour à la réalité. Compte qui ont été fermés, retour au bercail ou plutôt en enfer. Un prestige qui s’évapore, la décadence de ton pouvoir, de toute ta vie. Adieu les privilèges. C’est en regardant ces feuilles tombées que tu te souviens de tout.. de tout ce qui t’a amené ici. Toi le gamin qui était roi, le gamin qui était envié se retrouve à vivre auprès de ton paternel et sa sœur dans un petit cottage. Dernier vestige de la ligné des Goldstein. Tes pupilles qui se ferment un instant, priant pour te réveiller et que tout ceci ne soit qu’un vulgaire cauchemar… pourtant c’est bien vrai, tu n’as plus rien.

vrac : gamin qui a perdu son frère et sa mère a l'âge de huit ans, qui a dû prendre un rôle qu'il ne souhaitait pas. || sentiments qu'il a enfoui au fond de son être, ne désirant plus s'attacher aux gens, de peur de souffrir. || voue une haine envers son père depuis sa plus tendre enfance. || a tourné le dos à sa jumelle envers qui il était ultra proche et fusionnel || a fait de grande étude, architecte un métier qui le passionnait et qui lui manque actuellement. || réputation de séducteur qu'il préserve, joue sur les deux tableaux pour obtenir ce qu'il désire. || ne supporte pas l'échec. || la musique est son petit défouloir, il ne regarde pas la télévision, préférant un bon livre. || un esprit saint dans un corps saint, c'est son credo, s'évertue à manger que de bonnes choses et entretenir son corps. || ne laisse rien paraître. || a très peu d'amis, n'arrivant pas à faire confiance aux gens. malgré  tout il arrive à faire croire aux gens qu'il est leur amis. || vient de tout perdre à cause d'une erreur de son père. plus d'argent, plus de belle vie, retour en terre natale. || un cottage, dernier vestige de son père. seul bien qui n'a pas été retiré, leur permettant de tous cohabiter. || à la recherche d'un job, paraît que le poisson c'est bon pour la mémoire...
   

pseudo, prénom : still the same âge, lieu de résidence : grand-ma, france, région du camembert et de la pluie. type de personnage : inventé crédits : tumblr. avis, autres : @oceana brown m'a encore perverti, #ripraya .