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The Waterloo


Joya Gardner
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· don’t rush, slow touch (w/theo). Sam 6 Nov - 3:34


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Le cœur est léger. À la fête. La tête est ailleurs. Les rires sont nombreux, les sourires sont larges. Le cœur est bon. La tête est satisfaite. Le corps se déhanche sur quelques sons, la soirée est belle. Un changement de scène pour Joya, elle, l’habituée des soirées solitaires, à l’intérieur de son loft à parler à ses plantes lorsque l’ennui est trop présent. Sa présence à Joya, elle est grâce à son ami de longue date. Sans lui, elle ne serait pas ici, ce soir, à profiter de la soirée. Sans lui, Joya serait probablement chez elle, prête à se préparer pour aller se coucher comme toutes les autres soirs précédents. Maintenant, ils sont cinq personnes autour d’une table, des conversations qui fusent de tous les côtés, Joya se mêle d’une conversation pour y venir y mettre son grain de sel. Du coin de l’œil, elle remarque que Matias secoue la tête et elle lui fait les gros yeux, en lui disant de se taire. Ce qu’il comprend. La conversation qui suit est un débat entre Joya et cet inconnu dont elle ne se rappelle plus le prénom. Peut-être parce qu’il n’a rien dit ou peut-être parce qu’elle n’a pas trouvé l’excuse parfaite de s’en souvenir, Joya. Un ou l’autre, les deux sont possibles quoique la deuxième option est plus probable que la première. Le débat continue encore quelques minutes avant qu’elle lui offre un argument béton à ce dernier et qu’il cesse de parler. Joya est fière et elle savoure sa petite victoire d’une petite danse.
Mais Joya n’est pas méchante ni mesquine. Pour le réconforter dans sa perte, elle lui offre une bière, une offre qu’il accepte dans l’immédiat. Joya hoche de la tête et prend la direction du bar où elle commande deux bières. Une pour elle et une pour celui qui n’a pas prénom. On la fait patienter, ce qui n’est pas un problème parce que durant cette attente, ça lui permet de regarder les alentours et une bonne minute, Joya est certaine d’avoir aperçu son patron. De ses mains, Joya se frotte les yeux, certaine d’avoir halluciné un court instant, mais non pas du tout. Lui aussi semble l’avoir aperçu au petit signe de main qu’il lui fait. Joya ramasse les deux verres de bières et se dirige jusqu’à lui, en évitant les silhouettes ici et là. Un chemin hasardeux surtout avec des verres remplies jusqu’au bord. Lorsque le chemin est parcouru en entier, Joya dépose l’une de ces bières sur la table dispoible. « Monsieur Lovegood, quelle surprise de te croiser dans un endroit comme celui-là. » La mention est pour le bar. La surprise est de voir Theo dans un pub, elle qui le considère peut-être trop bien pour un lieu de ce genre. Pas de son genre, peut-être. Lui qui doit avoir un accès VIP pour un nightclub quelque part en ville. Le vouvoiement qui ne se fait plus depuis leur dernière soirée. « Et oui, avant que tu dises quoi que ce soit, je suis surprise. Et oui, tu peux me tutoyer, tu as dit essayer la dernière fois. » Renchérit Joya, l’index droit dans les airs en signe d’avertissement. Sa mémoire ne lui joue pas un tour, c’est surprenant.
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Theo Lovegood
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Ven 14 Jan - 11:31


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Sortir, s’amuser, les méandres d’une jeunesse édulcorée, les effusions de chaleur et le flux d’alcool. Tout pour oublier, tout pour s’épandre sur l’épaule d’un parfait inconnu. Juste se détendre et oublier. Oui c’est ce que la plupart des gens font lors de ses réunions amicales, ils décident de tout oublier et juste s’amuser. Toi dans tout ça ? Tu ne sais pas vraiment, tu es là juste pour lui. Cet ami d’enfance qui aime traîner dans ce genre de lieu. Cet personne que tu oses appeler ami, qui te connaît un minimum, une connaissance de Londres. Une personne de ton passé dont ton père n’a pas réussi à t’enlever. Alors oui pour lui tu viens t’abaisser au bas peuple, tu viens dans sa tanière, dans ce lieu ou le sol colle, où les gens te bousculent sans même dire pardon. Tout ce qui t’exaspère au plus au point et rajoutons que personne ne te connaît ici.. et ça, eh bien ça te fait un peu chier, tu aimes bien quand les visages se tournent vers toi. Oui, tu aimes être dans la lumière et pas sous un vieux néon qui aurait besoin d’être remis à neuf. Tu soupires et écoutes les complaintes de ton ‘ami’, son patron l’a viré. Apparemment il aurait pas apprécié que ce dernier lui réponde, tu ne dis rien et te contentes de boire ta bière. Un peu chaude, tu en as connu des meilleures, mais bon tu es là. Tu t’abaisses à eux, mais ça ne peut te faire que du bien. Te confronter à la réalité du monde, même si clairement tu déteints parmi eux, peut-être que le costume n’était pas nécessaire, mais.. c’est plus fort que toi. Et puis tu es venu après ta journée de travail. Tu n’as pas eu le temps de rentrer chez toi, de te changer, d’être un peu plus monsieur tout le monde. La discussion continue ou plutôt son monologue, tes iris se posent sur cette foule, ces gens qui ne paraissent.. fades, tel des âmes en peine. Tu as l’impression d’être Hades qui écoutent les âmes égarés, ceux qui réclament leur sortie, ne voulant plus être dans les limbes.
Ton regard s’arrête un instant sur une silhouette que tu connais, un peu trop bien à ton goût. Une silhouette qui reste dans un coin de ta tête. Une qui te fait sourire, dont les mots résonnent encore dans une partie de ton cerveau. Étrange créature qui a réussi à s’infiltrer dans ton âme. Ce qui est nouveau pour toi. Mains qui se lève en sa direction, elle t’a vu. Un échange. Bref, mais tu savoures cet instant. Tu joues du regard, des gestes, elle s’avance vers toi et tu sens que la soirée s’annonce plus .. intéressante. « Mademoiselle Gardner, comme c’est étrange de vous croiser ici.. » non ce qui est le plus étrange c’est de te voir ici. Elle te fait sourire, naturellement sans faux semblants. « c’est pas faux, je suis en compagnie d’un ami, il aime ce genre de lieu.. » ce dernier lève la main et part en direction des toilettes. Un peu de calme. « merci, il ne cessait de se plaindre de son patron, qui suis-je pour critiquer un comparse ? » sourire mutin, tu es assez fier de ta répartie et de la voir face à toi. « alors je croyais vous.. enfin tu préférais les soirées au calme chez toi avec tes plantes ? » oui tu as écouté ce qu’elle t’a dit. Tu as écouté chaque mots, phrases qui sont sorties de ses douces lippes.. ça te surprend de savoir ces choses, pire de les avoir enregistré. « occupé ? » que tu lances en voyant ces verres, tu n’as pas envie de la retarder dans sa soirée, mais d’un côté.. eh bien d’un côté tu as envie de la garder pour toi. Ne voulant pas qu’un autre s’occupe de la faire sourire, de lui parler, la distraire. Tu veux remplir cette mission et ça.. ça c’est nouveau.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Sam 22 Jan - 3:53


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L’impossibilité de camoufler sa surprise de retrouver Theo dans un endroit comme celui-ci — ça ne lui semble pas être un lieu qu’il fréquente sur une base régulière ; elle aussi n’est pas une régulière, y venant qu’une fois tous les mois avec une bande d’amis. Mais elle est aussi étonnamment heureuse de le voir dans un lieu normal, dans un lieu où elle n’a pas besoin de le considérer comme son boss. « Étrange pour une personne lambda d’être dans un endroit lambda ? Non, c’est assez normal. Ce qui n’est pas normal est de voir une personne comme toi ici. » Joya accuse le léger niveau d’alcool dans les veines pour sa facilité de prononcer ces paroles ; pour le confort dans la manière qu’elle le dit, avec cette pointe de sarcasme dans le ton. Une petite minute, elle se surprend d’être sur le point de lui présenter des excuses et très rapidement, Joya s’arrête parce qu’elle n’a rien à se faire pardonner. « Ce qui m’étonne le plus dans cette phrase est que vous ayez un ami qui aime fréquenter un lieu où la bière coûte quelques sous et où l’espace personnel ne semble pas exister. » Toujours à l’aise, elle fait remarquer, elle qui le voit comme un homme possédant des standards impossibles à atteindre. Peut-être qu’elle se trompe, Joya est certaine qu’elle se trompe ; elle est d’ailleurs certaine de croiser une nouvelle version de Theo. Une version normale de Theo et cette version semble la déstabiliser, mais aussi lui plaire. Tout est étrange en ce moment. Tout est… normal en ce moment. Régulier. La situation, elle est contrôlée, elle ne se sent pas étrangère. « Ah, peut-être que je devrais être celle avec qui il conserve. On pourrait se plaindre de nos patrons respectifs, je promets de ne pas dévoiler de prénom ou même le nom de la compagnie. » Réplique-t-elle à son tour avec cet énorme rire qui, elle est certaine de ça, peut se faire entendre par toutes les personnes qui se trouvent dans les environs.
Mais bien sûr, elle plaisante — Joya n’est pas ici pour se plaindre de son patron. Elle est ici pour passer un bon moment et oublier la réalité qui l’attend demain. Pour oublier les problèmes de la vie et même si cela est pour une seule nuit, ça lui convient. Theo lui arrache un sourire lorsqu’il mentionne ses plantes. « Je les préfère oui. Mais ça ne fait pas de mal de sortir une fois de temps en temps, n’est-ce pas ? Si je reste chez moi, dans la tranquillité, entouré de mes plantes, je vais me tourner en la vieille dame des Simpson qui a une dizaine de chats. » Qu’on remplace les chats par les plantes et bientôt, Joya sera considéré comme cette dame. Ça lui prend quelques minutes avant de réaliser que Theo puisse ne pas comprendre la référence qu’elle vient de mentionner. « Du tout. » Elle lui tend le verre et boit de l’autre pour ensuite jeter un regard à ses amis, qui encerclent encore la table pas très loin. Ils ne semblent pas avoir aperçu sa disparition soudaine et ça lui convient parfaitement. « Ils survivront sans moi. Puis ils attendent tous le jour où je rencontrerais l’homme de ma vie alors peut-être que me voir te parler les calmeront un tout petit peu. » Pas que tu sois l’homme de ma vie, Theo, qu’elle a envie de rajouter, mais ne le fait pas. Ne trouve pas le courage de le faire. Étrange, très étrange, qu’elle se dit à l’intérieur, pour soi-même. « Santé monsieur Lovegood. Santé à cette nouvelle image d’un Theo plus décontracté. » Elle qui le voit toujours dans un habit aussi dispendieux que son loft. Ce sourire aux lèvres, elle lève son verre, son regard qui se plonge dans le sien — parce que c’est malchance sinon et boit une autre gorgée.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Jeu 10 Fév - 11:54


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Est-ce vraiment étrange de croiser ton employée ici ? Pas vraiment, c’est plutôt toi qui n’a rien à faire ici. Tu n’appartiens pas à ce lieu, pourtant tu es là. Tu es là pour ton ami, pour écouter ses plaintes, pour lever les yeux vers ce plafond miteux. Parce que clairement ce n’est pas endroit, pas ton monde, mais ça t’arrive de faire des compromis. Apparemment c’est ça être un ami, un vrai, c’est dur d’en être un. Tu peux bien faire ta ba une fois par mois, voir an. Tu souris en voyant cette silhouette face à toi, sa façon de te répondre. Elle ne manque pas d’entrain, tu apprécies toujours ça. « Je plaide coupable, ce n’est pas dans mes habitudes d’être ici, je préfère vaquer à mes occupations qui sont plus mondaines, mais bon.. il m’arrive d’être ‘normal’ par moment. » ajoutant des guillemets à ‘normal’. Parce qu’il faut mettre les termes correctement, tu n’es pas habitué à ses lieux, tu ne vas pas mentir sur ce point. Elle te taquine un peu plus, touché que tu es. Tu prends du plaisir à cette conversation, enfin le début, tu sens que ta soirée va changer. Tu commençais à t’ennuyer et là.. là c’est bien mieux, différemment agréable. Laissant ton ami en plan, qui en a profité pour s’éclipser, ce qui n’est pas plus mal. Elle s’est placée ses pions la Gardner, tu avais presque oublié cela.. tu ne perds pas ton sourire, buvant une gorgée de cette affreuse bière. Alors c’est ça être ‘normal’, tu préfères tes délicieux nectars, mais tu es basique ce soir. « C’est un ami de longue date que j’ai rencontré à l’université.. je me suis pris d’affection pour lui et résultat.. me voilà ici. » cela peut paraître pathétique, mais d’un côté c’est vrai. Garth n’a pas les moyens que tu as, mais il peut être cool, nostalgique de vos moments passés. De l’université l’endroit où ton père n’avait pas son mot à dire, là où tu étais toi même, sans pression. Voilà pourquoi tu es attaché à ce gars, que tu viens lui rendre visite de temps en temps.. c’est quoi une bière chip comparer à de bon souvenirs ? Pas grand-chose et puis au pire tu prendras un autre breuvage, plus fort en fin de soirée ou demain. Ce n’est qu’une soirée et puis ce soir.. c’est différent. Tu parais presque offusqué par sa réponse, un fin sourire apparaît sur tes lèvres face à sa répartie. « J’aimerais en savoir plus sur ce dénommé patron qui vous en fait voir de toutes les couleurs. Je paris que c’est encore l’un de ceux qui ne regardent que son nombril ? » dis-tu entre tes lèvres, près de son oreilles, parce que oui tu t’es approché d’elle. Tu as humé son délicat parfum, laissant tes mots prendre vie dans le creux de son cou.. tu es bien en sa présence, tu sens que cette soirée prend un nouveau tournant. Un bon tournant.. agréable surprise de la voir ici. Elle t’amuse Joya. « Les simpsons ? Je vais paraître inculte, mais je ne vois pas qui est ce personnage, mais je crains la vision. Y a toujours moyen de changer la done, » Oui tu parais inculte de ne pas connaître une série dont tout le monde parle et connaît au moins de nom. Tu préfères tes documentaires, tes livres et autres occupations, toute façon avec tout le boulot que tu as. Tu n’as pas le temps pour tout ça et puis ça lui laisse une chance de t’en apprendre un peu plus sur son monde. Ton sourire se fait plus grand en écoutant ses paroles, tu regardes ses prétendues amis qu’elle te montre, trinque avec elle. « eh bien Mlle Gardner j’ai bien envie de leur donner de quoi parler. » tu te rapproches d’elle, regard dans le sien, tu prends au jeu.. tu en as oublié le vrai enjeu de tout ça. Ce soir, tu oublies tout, est-ce dû à ce mauvais nectar ? Tu n’en sais rien. « ça me donne une excuse pour échapper à cette discussion et je dois avouer que discuter avec toi est plus alléchant. » tu souris à nouveau, gardant cette proximité avec elle qui n’est pas dérangeante. Tu n’as pas l’impression qu’elle soit incommodé par tout ça, au contraire, elle se prend au jeu. « alors comme ça il faut te trouver l’homme parfait ? Et il devrait ressembler à quoi ? Pas celui là j’espère, » tu pointes un mec au bar, un peu bidonnant, cheveux dégarnis, tout d’un looser. Oui tu juges, mais c’est ta personnalité, mais quitte à l’imaginer avec un homme.. autant qu’il est ta classe et ton charisme. Pas celle d’un pochtron de bar.  
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Joya Gardner
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Sam 26 Fév - 15:04


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C’est tellement étrange de croiser son patron dans un bar, ce n’est pas un établissement auquel Joya s’attendait à le croiser en toute honnêteté parce que c’est si ordinaire, si normal. Une envie de se pincer le bras pour s’assurer que c’est bien la réalité, que ce n’est pas un rêve. « Conseil d’ami... Se vanter de préférer les activités mondaines pour ensuite affirmer être ‘’normal’’ par moment, ça ne fonctionne pas du tout. » Affirme Joya en souriant, mais ne peut se permettre la différence parce que les activités mondaines, comme il le dit si bien, Joya n’y connaît rien parce que cela n’a jamais été son monde. Préfère largement une soirée ‘’normal’’ qu’à une soirée où les personnes sont fausses. Ça ne l’intéresse pas et ne l’intéressera jamais si Joya doit être honnête. Elle, elle a une préférence pour l’authenticité qu’à la fausseté et tant mieux pour lui s’il préfère les soirées mondaines, cela est son monde à lui et ça semble lui correspondre avec l’attitude qu’il dégage, avec l’image qu’il projette.
« Wow, Theo Lovegood est dans la capacité de se prendre d’affection pour une personne autre que lui-même. Que devient le monde ? » Rigole Joya à ses aises, comme toujours. Davantage dans un lieu neutre où elle n’a pas besoin de faire attention à ce qui traverse ses lèvres. Dans un lieu où Theo n’est pas le patron, où il n’a pas de pouvoir. Puis il faut également admettre que les deux bières précédentes aident à parler librement. À dénouer la langue. Son index se pose sur sa lèvre, faisant mine de réfléchir pour finalement verrouiller ses lèvres pour ensuite jeter la clé à la mer. Essayant de ne pas faire attention au frisson l’ayant parcouru lorsqu’il a murmuré près de son oreille. Joya s’oblige à reculer d’un pas, s’oblige à mettre une distance entre lui et elle.
« C’est top secret, je ne suis pas dans la capacité d’en divulguer bien plus au sujet de ce fameux patron. » Répond Joya, fière d’elle. « Mais oui, un tout petit peu. J’ai envie de croire qu’il y a bien plus à lui que la façade qu’il dégage. » Cette fois, elle parle avec sincérité, sans une moindre trace d’humour dans le ton. Peut-être qu’elle se trompe, peut-être qu’il est ce qu’il prétend être et c’est possible, mais Joya est certaine qu’il y a bien plus. Sous cette carapace. Quelque part. Elle hausse les épaules à sa réponse au Simpson, boit une gorgée de son verre de bière et les sourcils se froncent. Cette fois, elle ne recule pas pour imposer une distance, elle reste là où elle est et le fixe droit dans les yeux. « Alors, non, je n’ai pas besoin de trouver l’homme parfait, je suis très bien seule, je n’ai pas à m’inquiéter d’une autre personne... Et je suis certaine que cet homme est charmant malgré tout, l’apparence importe peu en vérité, c’est ce qui se trouve à l’intérieur qui est important. » Déclare Joya avec un sourire, parlant, encore une fois, avec sincérité. Parce qu’elle s’en moque, qu’elle préfère largement les gens qui possèdent une bonté de cœur, qui sont sympathiques et ne prétendent pas être une autre personne pour faire plaisir à une autre personne. La classe, le charisme, le statut monétaire, elle s’en moque. « Et toi alors ? C’est quoi ton type ? » Qu’elle lui demande d’un coup, curieuse. « Non, attend, laisse-moi deviner... Grande, en forme, mince, mais surtout qui ne rouspète pas à tout ce qu’on lui dit, qui hoche la tête et qui paraît bien ? Je me trompe ? » Pour ce coup, Joya admet se baser sur les nombreuses photos disponibles en ligne lors de soirées mondaines. Theo semble avoir un genre bien défini.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Ven 25 Mar - 12:08


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Lèvres qui s’étirent à sa réponse, elle te plaît bien la Gardner. Pourquoi ? Tu ne sais pas vraiment, peut-être parce qu’elle n’a pas peur de te tenir tête. Ils sont peu à le faire, peu à oser tenir ton regard et te dire ce qu’ils pensent vraiment. Il faut porter ses ‘couilles’ comme aime si bien le dire la société actuel ou plutôt ton ami qui est parti. Et elle ose, elle ose te dire la vérité, ça t’amuse. Elle n’a pas tort d’un côté, mais tu n’es pas encore prêt à lui dire. «  Effectivement vu sous cet angle, mais j’ose espérer un jour vous montrez ce qu’est une soirée mondaine. » buvant une gorgée de cette piètre bière. Tu continues de sourire, l’image de voir Joya dans ton monde, te surprend un peu. Tu penses qu’elle ne se sentirait pas à sa place, elle aurait raison. Toi c’est ton monde, tu joues avec ces gens au quotidien. Tu avances les pions pour obtenir des informations, tu adores les voir se décomposer quand tu dis des vérités inavouables. Oui c’est là ton monde, il n’est pas vraiment attrayant, mais il te plaît. Tu te sens à ta place dans celui là, en même temps tu ne connais pratiquement que ça. Tu as baigné dedans depuis ta plus tendre enfance, tout ce qui est ‘perfection’, paraître, te parle, t’attire, te conquit. Parce que tu sais quoi dire et quoi faire dans ce genre de situation. Pas qu’ici tu perdes pieds, mais ce n’est pas dans tes habitudes de jouer le mec ‘normal’. À croire qu’elle le sait, qu’elle te connaît quelque part.. cela pourrait être effrayant, mais non. Non tu continues de parler avec elle, parce que tu aimes ça. Laissant le jeu de côté l’espace d’un instant. Parce que oui, tu as oublié le pari, l’enjeu qui en sortira. Ce soir, tu ne vois qu’elle et ça te réjouit. Elle te réjouit la Gardner parce que tu sens que la soirée ne peut-être que meilleure. Les langues commencent à se délier, tu ris intérieurement de la situation. Est-ce elle ou l’alcool qui parle ? Tu ne sais pas vraiment, mais tu te prêtes au jeu. Elle parle, elle t’amuse, tu écoutes. Tu t’approches, elle recule, une danse qui se mène, mais aucun de vous deux n’abandonnent. Vous restez là face à face, vous narguant comme vous le pouvez. «  ça arrive par moment, une à deux fois l’année.. vous.. tu as de la chance, ce soir est le grand soir ! » petit clin d’œil, tu as encore du mal avec ce ‘tu’, ce n’est pas dans tes habitudes. Tu ne tutoies que très rarement les gens, encore plus quand il s’agit d’un de tes employés. Seulement là.. là elle n’est pas ton employée, vous n’êtes pas au travail, encore moins dans les locaux de l’entreprise. Vous êtes juste deux personnes lambda qui discutent dans un bar. Tout ce qu’il y a de plus normal, une situation qui n’est pas ‘normal’ pour toi, mais tu te prêtes à la situation. Tu te prêtes au jeu. Est-ce vrai qu’un jeu ? Bonne question. Tu sais que ce qui t’a mené vers elle, c’est ce pari. Sauf que là.. là y a pas de pari ou bien de jeu. Tu es juste toi et elle.. eh bien elle. Vous rigolez, plaisantez, comme deux êtes normaux. Tu savoures la situation, les regards qui se penchent sur vous. Toujours prêt d’elle, tu chuchotes doucement, ne la perdant pas du regard. «  peut-être qu’elle a raison d’y croire.. » est-ce que tu dis vrai ? D’un sens oui, tu n’es pas juste ce que tu montres au quotidien. Tu n’es pas que cet homme froid et austère. Il t’arrive par moment de laisser la pression au placard, hélas c’est rare car tu as constamment la lumière sur toi. Toujours paraître, ne jamais décevoir le paternel. Tellement de pression que ce soir.. eh bien ce soir tu n’as pas envie d’y songer. Tu as envie de relâcher et savourer l’instant présent. Des références que tu n’as pas, mais tu souris. Elle te fait sourire la brune, oui tu prends plaisir à cette situation, à ce moment. Description qui te fait rire, mais elle continue. «  Je dois bien avouer que.. » que tu as un style bien précis ? Affirmatif. «  que j’ai effectivement un style, mais c’est plus facile et moins .. » moins quoi ? Que tu t’attaches pas, que c’est plus simple pour ne pas tomber ‘amoureux’, phrase qui reste en suspend. «  Je sais que j’ai une image de playboy et je l’affirme, mais je préfère me pavaner avec une bimbo, pas d’attache, pas de déception et pas d’attente. » que tu finis par lâcher. Sincèrement, comme elle lorsqu’elle te parle. «  Il faut croire que nous avons deux attentes bien différentes, mais je ne cherche pas vraiment la femme idéal .. il fut un temps ou j’étais naïf et que j’attendais la femme de ma vie et puis j’ai grandit. » tu hausses les épaules, vérité qui s’extirpe de tes lèvres. Il est vrai que tu as rêvé à la femme idéal, mais tu étais jeune. «  Après si je dois parler franchement, c’est agréable d’avoir une bonne compagnie, d’être avec une personne qui connaisse autre chose que les mondanités peoples. Sauf que … » que quoi ? Est-ce que tu es prêt à t’afficher aux bras d’une personne sincère et vrai ? Tu ne sais pas. Encore faut-il trouver cette personne .. «  encore faut-il qu’elle accepte mon monde et je pense pas que cela soit facile. » ou alors il faut que tu trouves une personne de ton monde cochant toutes les cases. Pas sûr. Y a bien sûr ton étoile, mais c’est différent entre vous. Elle, elle te connaît, elle sait qui tu es vraiment. Elle sait que tu n’es pas juste joueur, ignoble et sans scrupule. Non parce que Lara tu la défendras corps et âme, tu donnerais tout pour la voir sourire. Parce que son sourire n’a pas de prix. Tu reposes ton attention sur elle, «  et puis bon la plupart des femmes que j’ai côtoyé n’étaient intéressé que par mon image, mon argent.. alors autant que je me serve d’elles, comme elles le font si bien. » tu ne mens pas. Elle a cette capacité à te faire dire la vérité, à faire que tu te laisses aller. «  alors Mlle Gardner est-ce que vous.. tu es prêt à me montrer ton genre de soirée ? Je promets de ne pas rechigner et de laisser mon jugement de côté. » tu lèves la main pour affirmer tes mots. Parce que t’as vraiment envie de continuer votre discussion et de voir son monde à travers ses yeux.  
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Mar 29 Mar - 19:03

don’t rush, slow touch
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Ne peut pas s’empêcher d’éclater de rire, enveloppant la musique où il n’y a que son rire qui résonne dans le bar. Elle les voit les regards pas très loin, qui se demandent ce qui vient d’être dit pour rire de cette manière. Elle en rigole encore même après quelques minutes. Joya finit par secouer de la tête, se calmant petit à petit, une main sur la poitrine. « J’ose espérer ne jamais avoir à y faire face. » Parce que cela n’est pas son monde et qu’elle ne se voit pas y être. Elle ne se voit pas entourée de ces personnes qui parlent avec une certaine hauteur, qui se prétend être meilleurs que tout le monde, qui projettent cette image obligatoire de la perfection et cela lui donne des frissons, lui donne l’impression d’être dans un mauvais film d’horreur quoi qu’elle préférerait se retrouver dans un film d’horreur que d’être dans une soirée mondaine. Joya n’arrive pas à s’imaginer dans une soirée mondaine, peut-être parce qu’elle sait, au fond, qu’elle n’y a pas sa place à la fin de la journée et cela lui va. Lui va même très bien. Elle ne se plaint pas, préfère les soirées ordinaires comme celles-ci où les gens ne prétendent à rien. Où les personnes sont aux naturels. C’est son monde. Là où elle se sent à sa place. « En effet, je me considère comme étant trèèèès chanceuse. » Elle essaie de faire passer sa réponse par une blague alors qu’en vérité, elle se sent chanceuse. Chanceuse de le voir avec une humeur différente que celle au bureau, par exemple. Dans un lieu où elle n’a pas besoin de faire attention à ce qu’elle dit ou ce qu’elle fait. La beauté de le retrouver dans un lieu ordinaire.
Elle penche la tête à la droite, les prunelles brillantes, peut-être illuminées par les lumières présentes au-dessus d’eux, elle lui offre un sourire sincère. Évidemment qu’elle a raison d’y croire, elle croit toujours qu’une personne comme lui cache bien plus, qu’elle doit juste creuser un peu pour en découvrir davantage sur lui. Se considère déjà chanceuse d’en savoir bien plus que les autres au bureau à la suite de leur dernière conversation.
« C’est triste cette façon de penser. Je suis bien d’accord, ce n’est pas la fin du monde d’être seul, c’est même mieux qu’être mal accompagné ou d’être pris dans un mariage où l’amour n’existe pas, mais ne pas attendre la déception alors que c’est une façon d’apprendre de nos erreurs, c’est presque… » Joya ne trouve pas le mot pour décrire ce dont elle a besoin de dire alors décide de laisser sa phrase en suspens et de le laisser décider d’en faire ce dont il a envie. « Bien des gens sont dans la capacité de prétendre pour une soirée. Ou deux. Sans forcément se perdre dans tout ce circle. » Après, comment peut-elle réellement le savoir ? Ils ne sont pas tous les deux du même monde. Ils n’aspirent pas aux mêmes choses lui et elle. Joya ne se plaint pas de sa liberté, elle la savoure même, se dit qu’elle a le droit de merder une fois de temps et temps et qu’en vérité, cela lui semble complètement normal de commettre des erreurs dans une vie. Quitte à finir sa vie seule. « Bah pour être honnête, si l’homme qui se trouve en face projette une image de perfection et de luxure, où tout doit être parfait, où on ne peut pas commettre la moindre erreur, moi aussi je prétendrais m’intéresser cela à son argent et tout le reste. Mais oui, il y a malheureusement des gens qui s’intéressent seulement à un certain niveau. » Ne s’est jamais considéré dans cette catégorie. Pas du genre à prétendre être quelqu’un qu’elle n’est pas, mais surtout, a trop bien été élevée pour seulement compter sur le statut quelconque d’une personne et se la couler douce jusqu’à la fin des temps. Joya est de ces personnes qui aiment travailler pour ce dont elle a besoin, qui a besoin de moment tranquille sans se soucier de faire un faux pas et ainsi de suite. Ne peut pas se résoudre à prétendre quoi que ce soit, bien trop fidèle à soi-même, à ses convictions. « Mais qui suis-je pour critiquer quoi que ce soit hein ? Vivre et laisser vivre, il me semble est le dicton. » Ajoute-t-elle en levant son verre et en buvant une gorgée, une grande gorgée.
« En général, mon genre de soirée est beau plus au calme. À la maison, avec mes plantes et un bon livre ou un bon film d’horreur. » Commence-t-elle à expliquer, réalisant qu’elle lui parle de sa vie à elle. Sa vie ordinaire. « Mais quand je me trouve dans un endroit comme celui-ci, le but est de boire et rigoler, à partager nos anecdotes et tout ça. Parfois, on chiale sur des personnes difficiles du boulot, ça je n’ai plus besoin de le faire. » Lui dit-elle en lui adressant un clin d’oeil. Joya décide de terminer sa bière. « Du coup, si tu veux découvrir mon genre de soirée ici, il faut commencer par boire plus rapidement et avec un peu moins de dégoût. » Rigole, lève son verre dans sa direction pour ensuite s’approcher du comptoir où elle commande deux autres verres, en dirige une dans sa direction lorsqu’elle le retrouve. « Parfois, ça se termine à chanter faussement, d’autres fois on danse un tout petit. On se laisse guider par la soirée, tu vois ? » À l’impression qu’il n’en a pas l’habitude. Il faut bien une première à tout, n’est-ce pas ?
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Sam 23 Avr - 10:14


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Deux mondes bien différents. Deux être humains qui ont grandis à l’opposé l’un de l’autre. Deux personnalités bien distinct. Et pourtant.. et pourtant ce soir vous partagez un moment. Tu ne pensais pas un jour discuter, rigoler, avec une employée, pire encore : la tutoyez. Parce que oui tu la tutoies, elle a insisté. Est- ce que tu y prends goût ? Pas vraiment, ce n’est pas dans tes habitudes, tu tutoies rarement les gens, mais là.. là tu te plies aux règles. Vous n’êtes pas au boulot, vous êtes deux êtres dans un bar qui discutent, s’amusent. Oh ça oui tu t’amuses, elle rigole, un rire communicatif, qui te plaît. Tu n’irais pas dire qui te séduit, mais presque, restant proche d’elle, vous continuez cette petite discussion. Elle ne veut pas un jour rencontrer ton monde, tu comprends. Tu comprends son point de vue, mais toi tu le vois différemment, tu sais qu’on peut s’y amuser. Il suffit d’avoir la bonne compagnie, tu parles de toi bien sûr, en ta compagnie tu sais très bien qu’on ne s’ennuie pas. « Un jour peut-être.. que je te présentais ce monde, avec mon regard, tu verras ça autrement.. promis. » petit clin d’œil, tu penses ce que tu dis. Bien sûr qu’avec toi elle verrait ce genre de soirée différemment, tu sais pimenter la donne, rendre les gens intéressant. Plongeant ton regard dans le sien, tu sens des regards sur vous. Des gens sûrement intrigués par vos rires, vos échanges, probablement ses amies. Tu aimes ça. Tu aimes capter l’attention et en faire des tonnes, juste pour qu’on parle de vous. Pour l’instant ça fonctionne, mais tu avoues que tu préfères sa compagnie, laissant le reste de côté. Elle te change la Gardner, tu ne le remarques pas, mais en sa compagnie, tu es différent. Tu laisses peu à peu tomber le masque et profites de l’instant présent. Simplicité, un mot qui ne fait pas partie de ton vocabulaire. Pourtant là tu essaies, tu y prends goût.. vaguement, qu’on se rassure tu ne comptes pas changer de vie du jour au lendemain. Et puis quoi encore ?
La discussion finit par tourner sur un autre sujet : l’amour. La personne idéal l’un pour l’autre, vous avez bien sûr des divergences, étrangement ça paraît normal. Vous avez grandi dans des sphères bien différentes, vous n’attendez donc pas la même chose. Elle est touchante dans sa description de l’homme qu’elle attend. Toi tu passes pour un goujat, mais tu sais ce que tu veux et surtout ce que les femmes veulent de toi. Tu n’as pas envie de t’attacher, perdre du temps dans une relation, trop d’énergie rien qu’en y songeant. Oui, vous êtes différents, mais ce soir vous partagez un bon moment. « Joya je crois que nous avons une divergence d’opinion. » que tu dis en rigolant, mais tu ne dis pas cela méchamment, bien au contraire. « Je sais que ma façon détonne, mais bon .. au moins je n’ai pas à changer et encore moins dépenser mon énergie dans une relation. Je n’ai pas le temps pour ça, alors je me contente des filles de passage. Elles occupent ma soirée et comme elles ne sont guère intéressantes, je passe rarement au second niveau. » pas besoin de s’attacher, d’attendre des choses, tu profites autant qu’elles profitent de toi. Par contre tu ne te fais pas avoir pour autant.. tu sais très bien ce qu’elles veulent, t’es conscient des attentes de ses bimbos de passage. C’est sûr que si tu passais toutes tes soirées en compagnie de la jeune femme présente face à toi.. y a de forte chance que tu puisses y prendre goût et éventuellement t’attacher. D’où le fait que tu prennes la facilité. « Vivre et laisser vivre, je ne connaissais pas.. je le garde dans un coin de ma tête. » Surprenante en tout point, t’apprenant des dictons que tu ne connais pas, tout comme des séries. Il faut dire que tu ne t’attardes que très rarement devant la télévision. « J’approuve le livre, quel genre ? » parce que tu aimes lire. Tu as une sacré collection, on ne croirait pas en te voyant que tu aimes te plonger dans un bon livre et pourtant.. c’est le cas. Te perdre dans une bonne littérature ou un bon vinyle. Une soirée au top. Tu la regardes boire son verre, tu essaies de l’imiter, sans dégoût.. autant dire que c’est extrêmement dur pour toi.. tu aimes l’alcool de riche, tu t’en caches pas. Et un verre de finit, un second ? Au bout d’un moment tu vas être ivre, d’une façon que tu n’y aurais jamais songé… oh que non. « Je peux faire un effort .. prêt ! » que tu rétorques en posant le verre vide sur le comptoir. « Hum.. chanter.. je ne fais jamais ce genre de chose.. se laisser guider.. eh bien on va découvrir de nouvelles choses. » dis-tu en souriant. Trinquant à nouveau, tu ne grimaces pas cette fois ci en buvant une gorgée. La musique te plaît, tu commences à bouger des épaules.. « comme ça.. » que tu dis en bougeant en direction de la piste. Tu rigoles, attrapant son bras délicatement pour l'attirer vers toi. Hors de question que tu fasses cela tout seul.. après tout elle a bien dit qu’il fallait se guider par la soirée.. tu ne fais que suivre les règles.  
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Ven 27 Mai - 17:25

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C’est la curiosité qui pousse Joya à considérer une soirée mondaine en sa compagnie. La curiosité de savoir ce que c’est à travers son regard à Theo. Curieuse de savoir ce qu’il essaie de lui faire comprendre parce que dans sa tête, ça ne doit pas être bien différent que les autres regards. Que c’est identique dans tous les regards. Peut-être se trompe-t-elle Joya, ne sait pas. « Je ne pense pas avoir ma place dans ton monde Theo. Je ne suis pas contre l’idée de tenter l’expérience, je ne promets pas y rester toute la soirée et ne pas avoir l’envie de prendre la fuite si la soirée est ennuyante. » Si Joya doit accepter de passer un soir dans une soirée mondaine où les prétentions sont de mises, elle a cette préférence que ce soit, au minimum, divertissant et ce n’est pas le cas, elle n’a pas peur de tourner les talons et quitter les lieux s’il le faut.
Elle rigole de bon cœur tout en hochant la tête, d’accord, pour une première fois, avec ce qu’il vient de lui dire. « Theo, nous avons toujours des divergences d’opinions. C’est ce qui fait la dynamique de notre relation. » Réplique Joya, le ton amusé, mais également honnête parce que c’est exactement ce que fait leur relation, leurs opinions qui diffèrent sur une base régulière. C’est leur réalité à eux ; ils sont tous les deux différents, avec des personnalités qui différent, s’entrechoquent à toutes les interactions qu’ils ont. L’un voit la vie d’une façon et l’autre d’une façon différente et ça ne lui dérange pas à Joya de ne pas se retrouver toujours sur la même longueur d’onde avec Theo. « C’est quand même triste, je trouve et peut-être que tu te contentes de ces relations passagères, mais tu dois te sentir seul certains soirs non ? Revenir tous les soirs à la maison et ne pas avoir une personne avec qui discuter de sa journée, c’est triste. » Peu à peu, elle réalise qu’elle est également dans cette catégorie, qu’elle aussi revient le soir chez elle pour se retrouver seule, mais la différence est qu’elle n’est pas comme lui et ne cherche pas les relations passagères. Oui, Joya clame haut et fort que la solitude ne lui fait pas peur, mais la vérité est tout le contraire ; elle lui fait peur, elle n’a pas envie d’être seule pour l’éternité avec les plantes comme seuls compagnons. Elle veut une jolie histoire d’amour comme celle de son père avec sa belle-mère, elle veut retrouver une personne à la maison le soir à qui Joya peut raconter comment sa journée s’est passée, une personne présente pour l’entendre se plaindre. « Tu vas te coucher moins idiot ce soir, pour une rare fois. » Il lui a toujours donné l’image de l’homme qui sait tout, qui se couche avec le cerveau bien rempli et se réveille avec le même cerveau bien rempli. Pas du genre à en apprendre parfois.
Et Theo il s’introduit davantage dans ses habitudes de vie. Il s’introduit plus dans ce qu’elle fait de ses soirées lorsque la demoiselle ne se trouve pas au boulot ou dans un bar avec des amis. « Ça dépend, je n’ai pas de genre précis. Parfois, c’est un bon thriller, d’autres fois un roman à l’eau de rose et d’autres fois, ça peut être un classique. Ça dépend de mon humeur du moment. » Un autre verre dans les mains, elle boit une nouvelle gorgée, le goût dissimulé depuis la consommation de son premier verre. Joya remarque la possibilité d’une grimace sur le visage de Theo et ça la fait rire intérieurement. Il y a l’éclat de son rire qui se fait entendre et les bras se lèvent dans les airs au son de la musique. « Tu as peur de chanter alors ? Il ne faut pas. Il n’y a personne ici qui te le rappellera plus tard. » Surtout parce que c’est certainement la première fois qu’il se trouve dans un endroit comme celui-là et croît que cela risque d’être également la dernière fois. « Je te mets au défi, un jour, de venir faire du karaoké avec moi. J’ai l’impression que tu nous caches une jolie voix Theo et je compte bien découvrir si c’est le cas ou pas. » Lance Joya avec cette pointe de défi dans la voix.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Lun 13 Juin - 12:20


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Curiosité qui se mêle à l’envie, un mélange de sentiments que tu n’as pas l’habitude de gérer. Tu te laisses aller et cela ne fait pas partie de tes habitudes quotidienne. Seulement elle a ce don, ce petit truc la Gardner qui fait que tu cèdes. Tu craques face à son sourire. L’envie de lui montrer ton monde, tes mondanités, de lui faire découvrir l’envers du décor. Tu sais que certaines personnes n’apprécient pas ce monde, ton monde, qu’ils détestent ces faux sourires, ces faux semblants, mesquineries et compagnie. Tu te doutes qu’elle déteste ça, ça se lit sur son visage et puis.. et puis tu as appris à la connaître la jolie Joya. Tu sais au fond qu’elle va détester tout cela. « Je serais déjà heureux de t’avoir à mes bras lors de l’une de ses soirées et crois-moi que je serais le plus chanceux. » parce qu’elle est précieuse et qu’elle vaut bien plus que ces abruties. Abrutie que tu es au quotidien. Parce qu’on va se mentir, c’est ton monde et tu y excelles pour jouer avec eux. Ton plateau d’échec depuis que tu es en âge de comprendre ce qui se trame au quotidien. Seulement tu es sincère dans tes paroles, tu seras le plus chanceux si elle vient à tes bras. Parce qu’elle est pure, douce, malgré son tempérament de feu. Sa différence fera sa force et tu sais d’avance qu’elle brillera au milieu de toutes ses poupées que tu as l’habitude de fréquenter.. sourire qui s’agrandit au son de ton prénom. Tu flanches Theo et ce n’est pas dans tes habitudes. Sauf qu’une fois de plus, elle a raison. « nous avons donc une relation, » seul mot que tu retiens. Un mot qui te séduit, une relation de travail ? Ou plus. Tu ne sais pas, mais toujours est-il qu’il se passe effectivement quelque chose entre vous. Heureux de l’entendre. L’alcool bon marché te fait clairement flancher, voilà ton excuse. Ce n’est pas que tu fonds, juste que cet alcool dilue le peu de sens qu’il te reste. La vérité pourrait-être autre, mais tu décides de mettre cela sur le dos de l’alcool. Plus simple et efficace que de te remettre en question. Cependant tu acceptes de te ‘détendre’, de te laisser aller, d’intégrer son monde.
‘te sentir seul certains soirs non ? Revenir tous les soirs à la maison et ne pas avoir une personne avec qui discuter de sa journée, c’est triste.’ des mots qui résonnent dans ta tête. Elle n’a pas tort, mais comment lui dire ? Que tu préfères être seul que mal accompagné, trop redondant, trop vu. Pourtant tu l’utilises, tu l’emploies par moment pour expliquer ta solitude. Elle existe, elle est là, présente dans les recoins de ton appartement, voir de ton bureau. Est-ce qu’elle te plaît ? Tu ne saurais dire car tu n’y songes pas. Pourtant ses mots sont là, présents, se frayent un chemin vers ton système cérébrale. Tu as horreur de ça, de cogiter sur une phrase que tu n’as pas dite. Ce n’est pas de toi, mais tu réfléchis sur sa phrase. « et toi ? » que tu finis juste par lui demander, ne trouvant pas de réponse adéquate à sa question. Parce que tu ne sais pas. Tu ne t’es jamais interrogé sur ta solitude, tu n’as jamais pris le temps de songer au fait que tu sois seul. Que tu n’es effectivement personne vers qui te tourner, parler. Tu t’es installé dans une routine qui te plaît et ne cherches pas autre chose. « mais j’pense que tu as raison, j’avais jamais pris le temps d’y songer.. » que tu as envie de lui dire, mais ces mots restent contre la paroi qu’est ta bouche. Tu n’arrives pas à les dire, à les faire sortir. Pas encore assez imbibé de cet alcool de bon marché. Alors tu changes de sujet, tu t’intéresses un peu plus à elle, à ses lectures. Parce que tu aimes ça, tu adores dévorer des livres, mais une fois de plus : tu ne le dis pas. Que tu sois cultivé ou bien que tu aimes lire, ne fait pas partie de ton cv. Tu ne sais pas pourquoi parce qu’il n’y a pas de honte à ça. « y compris les romans de noël ? Mais je dois bien avouer que je ne sais résister à un bon thriller, j’adore lorsqu’un auteur arrive à nous étonner. À nous surprendre, et ça devient rare. » elle sait te faire parler à la Gardner, tu te livres auprès d’elle. Pourtant tu ne fais que parler de littérature, rien de bien méchant, mais c’est une partie de toi que tu ne livres pas. Parce que c’est ainsi, ça ne se fait pas. Plus tu bois, plus tu grimaces et plus elle sourit. À croire que tu te transformes en clown, mais c’est plus fort que toi, rien ne vaut un bon bourbon. Te laissant aller, tu danses, l’emmenant avec toi, la laissant parler de sa soirée idéal, ou plutôt d’un karaoké. Là tu grimaces car toi chanter ? Et puis quoi encore. « Mlle Gardner, il faut savoir que je ne dis jamais non à un bon défis, alors c’est avec plaisir que j’accepte.. mais cependant hors de question de filmer. » parce que oui tu détestes chanter et tu n’as pas envie que le monde entier le sache. « dois-je en déduire que tu adores ça ? » gardant toujours une proximité avec elle. Ne sachant pas pourquoi, mais tu ne veux pas qu’elle s’échappe, qu’un autre vienne interagir entre vous. Tu veux que cette soirée continue, en apprendre d’avantage sur elle. Cette proximité te plaît et tu prends goût à te laisser aller.. à danser, étrange sensation…   
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Mar 28 Juin - 3:56

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Pendant un petit moment, Joya se surprend à se retrouver déstabilisé par les paroles qu’il vient de lui dire. Peut-être parce que Joya ne s’attendait pas à l’entendre lui dire cela et même si, au fond, Joya sait qu’elle ne peut pas blâmer l’alcool pour cela, il n’en reste pas moins que durant ces quelques secondes, elle ne trouve rien à lui répondre. Elle finit par rigoler légèrement, dans le but que cela aide à faire passer ce petit malaise. « Tu mens. Au moins, les autres seront surpris de te voir au bras d’une brunette à la place d’une blonde. » Ne se rappelle plus si ce détail a déjà été mentionné auparavant ou vient-elle d’admettre avoir lu quelques articles à son sujet lors de ses événements ? Parce que c’est le cas. Joya a lu quelques articles sur ces soirées mondaines dont Theo parle ; elle a été témoin de son genre : blonde, aux longues jambes et à la beauté ravageuse. Tout le contraire de ce qu’elle, Joya Gardner, représente. Elle lève les yeux au ciel en secouant de la tête. En vérité, elle n’est pas surprise qu’il se soit arrêté sur ce simple petit mot. Ce petit mot qui peut avoir beaucoup de signification selon la personne qui se retrouve en face de nous. Là, à ce moment, elle se trouve devant Theo Lovegood. L’homme à la tête de la compagnie pour laquelle Joya travaille depuis quelques années. Dont avec qui les conversations étaient inexistantes. « Bien entendu. Une relation professionnelle. Tu es mon patron et je suis ton employé qui n’a pas peur de communiquer son mécontentement pour des projets ridicules. » Une fois. Une seule fois. Parce que le reste du temps, Joya fait ce qu’on lui demande. Elle le fait en ruminant à son bureau. Parce que c’est ce que travailler représente ; accepter des projets qu’on aime et d’autres qu’on n’aime pas du tout. « Bon d’accord, je pense qu’après cette soirée, on peut considérer une relation d’amitié. Si bien entendu, tu es capable d’avoir des amis lambdas. » À l’extérieur du travail, Joya n’a pas sa langue dans sa poche. Se dit qu’ils sont tous les deux au même niveau en dehors du travail. Elle dit ça parce que Joya est prête à le considérer comme un ami. À l’accepter dans un cercle plus privé que les autres. Car ce soir, elle a l’impression de découvrir une autre facette d’un patron qui terrifie les employés de la boîte pour laquelle il gère tout.
Tout en le regardant, elle fronce les sourcils. « Et moi quoi ? » Ça lui prends quelques secondes avant de réaliser ce dont ils parlaient il y a quelques instants. La fameuse discussion sur les relations sérieuses et passagères. « Moi, j’ai mes plantes qui attendent avec grande impatience mon retour à la maison. Je suis bien avec ma solitude. Oui, c’est triste par moment, mais c’est mieux d’être seul que mal accompagné. Puis il y a toujours les applications de rencontres. » Ne se considère pas comme une adepte de ces applications. Du genre à y aller par curiosité et vouloir oublier que cet instant de faiblesse est arrivé. Mais Theo n’a pas besoin de connaître ce détail. Fronce le nez et secoue de la tête. « Non. » Tout simplement. Elle préfère largement les thrillers, les bouquins qui l’obligent à continuer sans réaliser l’heure qu’il est. Les bouquins qui ne lui permettent pas de le déposer pour dormir ou faire autre chose. Puis Joya éclate de rire. Le mettre au défi a bien fonctionné, comme elle se doutait que cela fonctionnerait. Commence doucement à mieux le connaître ce Theo Lovegood. à connaître l’homme derrière cette façade. « Je ne peux pas promettre de ne pas filmer. J’ai bien le droit d’avoir un souvenir de cette potentielle soirée, non ? Oui. » Et la tête se penche vers l’arrière, le corps se déhanche sur la musique présente, sans se soucier de cette proximité entre eux. « J’ai une idée... » Conserve le secret, l’attrape par la main et quitte la piste de danse, en direction de la porte. « Karaoké ce soir. » Elle le tient toujours par la main, ne retire pas la sienne parce qu’elle a perdu contrôle de sa raison Joya.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Lun 1 Aoû - 21:45


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Ce soir, tu te laisses aller, complètement, tu mets tes habitudes au placard. C’est déjà rare de te croiser dans ce genre d’endroit, mais là.. là tu te perds dans cette discussion, dans cet échange. Parce qu’elle a ce don. Ce truc qui fait que tu te perds complètement, elle arrive même à te perturber, te corrompre. Tu vas bien sûr mettre tout cela sur le compte de l’alcool, parce que c’est plus facile ainsi. Plus facile de dire que l’alcool rempli ta tête d’idées nouvelles, que d’assumer que la brune face à toi.. eh bien te laisse pas indifférent. Que tu te sens bien en sa compagnie, oubliant un instant le monde d’où tu viens. Tu es sincère en lui disant que tu aurais de la chance de l’avoir à tes bras, sa remarque te fait sourire. Bien sûr, que tu aimes les blondes, tu as un type Theo et cela depuis toujours. Parce que tu les aimes facile, peu loquasse et surtout : malléable. Tu détestes qu’on te tienne tête ou tout simplement qu’on te prenne la tête. Et ce genre de nana, c’est ce qu’il te faut, elles cherchent juste à paraître, le reste les importe peu. Tu sais que tu te sers d’elles, que tu t’amuses, mais dans le fond c’est plus facile que d’aller aux bras d’une charmante demoiselle tel que Joya. Elle a de la répartie, du style, du vocabulaire, elle serait t’amuser lors de ses soirées pompeuse à souhait. Parce qu’elle a ce truc. « Ils seront surtout surpris de me voir aux bras d’une femme cultivée et bourrée de malice, au charisme renversant. Cela pourrait-être fortement intéressant, » que tu songes l’espace d’un instant. Casser le mythe, prouvant que tu peux être un homme. Tu en es un, mais y a bien des facettes de toi que tu ne montres pas. Parce que c’est ainsi. Parce que cela ne se fait pas. Ce soir, tu oublies presque ton masque, à croire que tu l’aurais mis aux vestiaires, même si tu doutes que ce genre d’endroits dispose d’une pièce comme ça. Regard qui se dépose sur elle, lèvre inférieur que tu mordilles. Trépignant de savoir, connaître la réponse à ta question. Relation ou pas ? Est-ce que ton ‘plan’ opère ? Sans savoir qu’au final tu es le premier à te faire prendre. Stupide homme que tu es. Le retour risque de faire mal, mais pour l’heure tu savoures, langue qui dépasse d’entre tes lèvres. Jubilant de sa réponse, déçu des mots qu’elle emploie, mais.. mais elle se rattrape la brune. Tu aurais aimé plus, « je me contenterais de cela pour l’instant, de toi à moi, mes amies lambda n’ont pas autant de répartie et surtout elles ne sont pas aussi captivante. » que tu lui dis, ton regard dans le sien, déstabilisant ? Tu ne sais. « amis, » que tu finis par dire, trinquant à cela. Oui, tu peux t’abaisser vers le bas peuple, surtout s’il est surprenant comme maintenant .. une fois de plus ce liquide indigeste aura eu raison de ton état. Ton système nerveux n’est pas habitué à ce mélange chimique, ton palais préfère des mets plus raffinés. Sauf que ce soir, tu ne fais pas la fine bouche. Tu te laisses porter, comme elle te l’a si bien dit. Espérant que la soirée ne fait juste que commencer.. remettant le reste à demain. Demain sera un nouveau jour, un nouvel espoir.
Sourcil qui se relève à l’évocation du mot application avant celui de rencontre, « j’aurais jamais pensé cela de vous Miss Gardner, » et c’est vrai. Tu ne sais pas pourquoi, mais tu l’imagines romantique à souhait. Ayant pourtant la tête sur les épaules et sachant ce qu’elle veut, une femme forte et indépendante. Voilà l’image que tu as d’elle petit à petit, même si dans le fond, vous vous connaissez pas vraiment… et cette soirée est faite pour ça. Pour vous découvrir, pour vous rapprochez. Deux corps qui se déhanchent, c’est bien cela qu’elle voulait de toi ? Que tu te laisses porter par la soirée, par le vent comme dirait certains. Très peu pour toi en temps normal, mais ce vinaigre aura eu raison de ta volonté. Tu oublies tout et la musique guide tes pas. Piètre danseur que tu es. Mauvaise réponse que tu as donné ou bien oui ? Tu ne sais, tout se passe trop vite pour toi. Beaucoup trop vite. Sa main dans la sienne, tes pas suivant les siens. Confusion dans ton cerveau, elle n’a pas vraiment dit ça ? « t’es pas sérieuse ? » que tu lui demandes, la suivant, te laissant porter par son envie. Gardant ce contact avec elle. Cette chaleur qui te fait du bien, trop peut-être  mais ça te déplaît pas. Toi chanter ? Et puis quoi encore ? Pourtant c’est bien vers un autre endroit qu’elle t’emmène, vers ton enfer personnel. Parce que tu n’as pas l’habitude de tout ça. Tu as bien sûr eu tes moments de folies lorsque tu vivais à Londres. Soirées après soirées, oubliant l’instant présent, mais là encore, c’était différent. Totalement différent. « Va me falloir plus d’alcool !  » que tu rétorques en voyant la devanture, cherchant à déserrer ta cravate, qui n’est pas là. Pourquoi ? Question qui te taraude. Comment ? Celle ci aussi. Et en peu de temps qu’il te faut pour assimiler le tout, te voilà devant un micro.. « diantre, » que tu lâches. Oui, il te faut de l’alcool. Beaucoup plus de ce liquide visqueux, beaucoup.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Lun 15 Aoû - 3:05

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La véritable question est celle-ci : est-ce que Joya est prête à prendre le risque de s’emmerder dans une soirée mondaine ? À se faire regarder par tout le monde parce que son ensemble n’est pas aux standards que toutes ces personnes connaissent ? Non, elle ne l’est pas. Peu importe le nombre de fois qu’il peut lui en faire la mention, Theo rencontrera un embûche, une certaine réticence de sa part. Mentalement, elle n’y est pas prête. « Peut-être. » C’est possible. Possible que ce soit intéressant pour lui et les autres, possible que ce ne soit pas intéressant pour elle et juste une raison supplémentaire de lui confirmer que les soirées de ce genre ne devraient pas exister. Mais Joya n’est pas prête à prendre le risque. Du moins, pas tout de suite. Peut-être même jamais ; un jour, peut-être qu’elle changera d’avis. Ça lui prendra une raison excellente et des arguments solides. Puis Joya a l’impression qu’en acceptant de se rendre dans une soirée mondaine au bras de son patron n’est pas une image supposée existée sur Terre. Que tous ses collègues aient le droit de lui demander ce qui se passe entre eux alors qu’elle-même ne connaît même pas la réponse à cette question. Ou bien, ils se permettront de passer des commentaires sur son passage, pensant qu’elle est le nouveau passe-temps de leur patron. Penseront qu’il lui offre des faveurs puisqu’elle est celle avec qui il couche et Joya n’a pas besoin d’avoir cela dans sa vie. Elle n’en veut pas. Tout ce qu’elle désire est de pouvoir travailler en paix, sur des projets qui l’animent mentalement, qui activent son cerveau et son intérêt. Elle n’a pas besoin d’avoir une cible accrochée au dos.
De toute manière, ils sont désormais au stade de l’amitié. Ils sont amis. Ou nouvellement amis. C’est dans cette catégorie qu’ils se trouvent maintenant. Est-ce que cela signifie que demain, elle va inviter Theo à venir manger un repas chez elle ? Peut-être pas. Mais Joya souhaite tout de même que cela leur permette de cesser le vouvoiement au travail et de ne pas prétendre ne pas vivre la meilleure soirée de leurs existences depuis un moment. Peut-être qu’elle se fourvoie dans ce désir, peut-être que lundi, lorsqu’ils seront de retour au bureau, ils ne seront plus dans cette catégorie. « Parce que tes amis sont effrayés de toi. » Lui fit-elle remarquée, sans forcément être sérieuse concernant ce détail. Il est possible que tous ses amis soient des personnes avec un statut élevé et Joya se demande à quoi ressemble les conversations lorsqu’on s’oblige à être parfait en tout temps. Cela doit être ennuyant, ça sonne ennuyant. « Amis. » Lui confirme-t-elle avec un sourire, trinquant avec lui. Vient-il de confirmer qu’ils sont amis ou imagine-t-elle tout cela ? Est-elle en train de rêver ou est-ce bien la réalité ? Joya finit par éclater de rire et se cache derrière son verre à moitié vide (ou moitié rempli selon sa vision des choses). « Quoi ? Une femme a des besoins. » Alors que la vérité est qu’elle n’y reste jamais bien longtemps. Qu’au bout d’1-2 heures, elle finit par supprimer son compte et l’application. Jamais mieux servi que par soi-même à la fin de la journée.
Sur un élan d’impulsivité, ils se retrouvent à l’extérieur. Elle ne réalise pas qu’elle n’a même pas pris le temps de dire au revoir à son groupe d’amis. « Je suis trèèèèès sérieuse à ce sujet. Ça va être fun, tu vas voir. » Sa main est toujours dans la sienne comme si c’est naturel que ce soit le cas. Elle ne fait rien pour retirer la sienne comme il ne fait rien pour retirer la sienne. Tous les deux d’accord de se promener, les mains liées. Finalement, ils arrivent sur les lieux. Elle entend Theo lui faire savoir qu’il a besoin de plus d’alcool et c’est ce qu’elle va chercher. Deux autres bières. « Eh oui, encore de la bière. » Lui fait-elle remarquer en lui tendant son verre et les yeux se lèvent dans le ciel tandis qu’elle secoue de la tête. « J’ai entendu ça. Arrête de te plaindre, Lovegood. Tu choisis une chanson… Ou tu te pousses et tu laisses l’experte. » Dans son espace personnel, elle le pousse d’un coup d’hanches et regarde le répertoire des chansons disponibles. « J’aimerais dédier cette chanson au plus grand râleur de cette planète… Mon patron, monsieur Theo Lovegood, premier du nom. » Et les notes de Livin’ on a Prayer débute et Joya y donne tout ce qu’elle possède.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Dim 28 Aoû - 19:29


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Est-ce que tu sors de tes habitudes ? Affirmatif. Tu ne comprends plus rien à la soirée, y a encore quelques heures, tu sirotais une bière, infecte soit-dit en passant, avec un ami de longue date et là tu te retrouves main dans la main avec la belle Gardner. Elle t’emmène vers un nouveau lieu. Un lieu inconnu de ton être. Un lieu qui va t’apporter que des maux de tête, des perturbations, tu le sens. Pourtant tu la suis, à dire vrai, à ce moment précis, tu la suivrais n’importe où. Voilà les effets que ce piètre breuvage a sur toi. Tu ne sais plus ce que tu fais, encore moins ce que tu dis ou penses. Toi suivre une femme n’importe où ? Et puis quoi encore. Pourtant tu n’as pas envie d’enlever ta main, ça te semble norma, chaleureux. Ses courbes se mêlent aux tiennes, en tout bien toute honneur et ça te rend… heureux. Tu souris. Depuis que ton regard a croisé le sien, tu souris. Plus rien n’existe, juste elle et son rire, elle et juste elle. Stupide cerveau. Stupide paris. Tu ne penses pourtant plus à ton paris, à ce jeu que tu as instauré. Tu ne penses qu’à ce moment présent, à cette sensation de vivre, d’exister. De te sentir bien. Trop bien. Euphorie dans ton système. Tes sens sont aux aguets, partant dans tous les sens. Tu te sens vivre, oubliant la pression. Tout ce que tu ressens au quotidien. Ce soir, tu es juste Theo. Simplement Theo. Ce sentiment, tu l’as déjà connu dans le passé, lorsque tu étais à Londres. Belle Londres. Ville de ton insouciance, mais surtout de ton indépendance. Bien sûr que ton père veillait au loin sur toi, mais c’était différent. Là-bas il ne pouvait rien dire, il ne pouvait pas contrôler tes faits et gestes. Il rattrapait tes grosses conneries, de jeunesse bien sûr, mais rien de plus. Il te laissait faire. Par dessus tout, il te laissait vivre. Que du bonheur. Et ce soir, ce soir tu as l’impression de retourner à ce temps. Ce temps où juste toi comptait, existait et non ton nom. Ton patronyme était connu à l’époque, tout autant qu’aujourd’hui, mais différemment. Les gens traînaient avec toi, parce que tu étais Theo et non Theo Lovegood. Tout comme tu sais qu’elle est avec toi pour le Theo que tu lui as présenté et non celui qu’elle croise dans les locaux de la boîte. Elle n’est pas avec son patron ce soir, juste avec un amis. Un amis qui se plaît en sa présence et tu sens que le sentiment est réciproque. Sinon pourquoi serait-elle encore là ? Pourquoi est-ce qu’elle rigolerait à tes piètres remarques ? Tu n’es pas un bon humoriste, les blagues ne sont pas ton dada. Alors la voir rire, pas de toi, ça t’enchante. Oui, tu vis et bon sang que ça fait du bien. En voyant l’endroit, tu déchanterais presque, mais non. Non, tu réclames de l’alcool, toujours aussi mauvais, ça va de sens, sa main qui lâche la tienne. Sentiment d’être incomplet, seul. Pourquoi ? Puis elle revient, juste avant que tu es le temps de te rendre compte qu’elle te manquait. Tout s’enchaîne bien trop vite à ton goût. Un micro, une Joya prête à chanter. Et toi ? Toi, tu n’as pas le choix, encore moins l’envie de te laisser aller à ce genre de chose. Pourtant le choix elle ne te laisse pas. Tu dois chanter. Elle n’a pas peur pour ses oreilles. Tu regardes la foule, ces gens inconscient, venant ici pour se divertir, ne sont-ils pas au courant qu’il y a mieux ? Que tu songes. Parce que tu restes ce Theo que tout le monde déteste dans le fond. Ce theo qui prend les gens de haut. On ne change pas un diable en un claquement de doigt. Il a fallu du temps à Hadès pour tomber amoureux de Perséphone. Tu rigoles à sa remarque et lui laisses la place, « la scène est tout à vous my lady, » petit surnom que tu viens de lui donner. Mais tu trouves que cela sonne bien, le charme dans ton regard. Amusé de la voir ainsi, tu te rends au bar, histoire de reprendre un verre. Parce qu’un ne suffit pas. Oh que non. Tu n’en crois pas tes oreilles, te mordant les lèvres et tournant de gauche à droite. Elle a osé. Tu lèves ton verre, pour trinquer en son nom. Qu’elle chante. Tu ne tardes pas à rire en la voyant, attention tu ne te moques pas. Loin de toi cette idée, mais cette chanson.. tu n’aurais jamais imaginé cette chanson. Elle fait écho ton âme, à croire qu’elle t’a bien cerné. Elle ne tarde pas à revenir vers toi, les gens ont l’air heureux. Heureux de sa chanson, de sa voix. « Bon Jovi ? Je ne sais comment j’dois le prendre, » des mots que tu avales, tu en perds ton latin, faute à cet alcool. À elle. « en tout cas, bravo, très belle voix, j’ai bien peur de faire tâcher après toi. » tu défiles ? Un peu. Pourtant tu vois dans son regard, qu’il va t’être impossible de filer. « bon ok, mais un duo ? Pitié ? Tu ne voudrais pas qu’on me lance des tomates pour ma première ? » tu essaies de faire le regard du chien battu, est-ce que cela va prendre ?! « je te laisse bien sûr choisir la chanson et serais ton esclave lyrique, » tu implores qu’elle dise oui. Ne voulant pas te ridiculiser seul. Hors de question, puis à deux c’est mieux.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Sam 3 Sep - 17:32

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Changement de scène. La nuit est encore jeune. Ils ont tout le temps devant eux parce que les responsabilités ne sont pas à reprendre demain. Parce que pour une soirée, ils se permettent de modifier la catégorie dans laquelle ils se mettent. Parce que ce soir, ils s’apprivoisent, se découvrent. Dépasse la limite de l’impossible — a dit adieu à son groupe d’amis pour se diriger vers un autre lieu moins populaire que le bar de la ville. Là encore, à se croire invincibles aux yeux des autres, à se découvrir. Là où ils peuvent prétendre être une autre personne, là où ils peuvent se dire « amis » et se permettre de flirter un tout petit peu. Les limites sont embrouillées, peut-être parce que le cerveau baigne légèrement dans l’alcool. Ou parce qu’ils ont envie de les dépasser. Joya en a appris plus sur Theo en une seule soirée, elle en a vu plus sur lui que les autres, probablement. Se considère chanceuse. Un peu comme une personne qui assiste au spectacle d’une étoile filante et peut-être a-t-elle fait le souhait que ça ne se termine pas. Peut-être a-t-elle ce souhait que demain tout ne soit pas modifié.

Il y a ce petit sourire en coin qui s’installe sur ses lèvres, surprise de l’entendre lui donner un petit surnom qui ne sonne pas méchant, qui est même mignon et aussitôt, il y a cette voix intérieure qui lui demande ce qu’elle fait et peu importe ce que c’est, de cesser tout ça. De reprendre ses esprits le plus rapidement possible. Alors, Joya se racle la gorge avant d’ouvrir la bouche. « S’il te plaît, ne répète jamais ce surnom au boulot sinon les autres commenceront à poser des questions. » Joya n’a pas besoin de cela. Elle n’a pas besoin qu’une rumeur débute et que celle-ci la concerne elle et le patron de la boîte pour laquelle elle bosse sinon on va commencer à douter de son talent et dire qu’elle se tape le patron. Alors que tout le monde doit bien se douter qu’elle n’est pas son genre. Une brune parmi son palmarès de blonde, impossible. Si Theo doit jeter son dévolu sur une femme dans la boîte qu’il gère, les chances sont plus élevées sur ses collègues à la jolie chevelure blonde comme le blé — mais Joya ne veut pas réfléchir à tout cela. Elle veut tout simplement profiter de sa soirée en compagnie de son nouvel ami et c’est ce qu’elle fait sur la scène lorsque les premières débutent, lorsqu’elle y donne tout son cœur comme si sa vie en dépendait. La brune voit bien que les clients de l’endroit apprécient sa performance, voit même certaines personnes chanter en même temps qu’elle. Puis sa performance arrive à une fin et avant de descendre de la scène, elle remercie tout le monde, ce grand sourire aux lèvres tout en prenant une gorgée d’un verre d’eau déposé devant elle, comme par magie comme si le barman lisait dans ses pensées. « Pas grave. Personne n’est ici pour te juger de toute manière. » Lui fit-elle remarquer et Joya est certaine qu’ils se moquent tous de son statut. Rigolant, elle secoue de la tête pour lui indiquer qu’un duo n’arrivera pas. « Non. Tu y vas seul comme le grand garçon tu es et tu te lâches. Aller. » Elle le pousse dans la direction de la scène. Ne lui offre pas la satisfaction d’un duo, ne le laisse pas se défiler. L’oblige à prendre le micro qu’elle lui tend. « Tu peux le faire. Le légendaire Theo Lovegood peut tout faire. » C’est ce qu’elle lui dit avant de tourner les talons et rejoindre le bar où elle s’installe sur un tabouret de ce dernier.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Dim 11 Sep - 17:53


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Non. Non, ce n’est pas possible, tu ne vas pas faire ça. No way. Pourtant tes yeux fixent cette salle, des têtes qui te sont totalement inconnus. Des têtes que tu ne reverras jamais. Forte heureusement pour toi, tu ne tiens pas à discuter de cette future performance demain autour d’un café. Comme ci tu pouvais prendre un café avec l’un d’eux. Chasser le naturel, il revient vite au galop. Tu souffles. Ce n’est pas possible. Tu ne vas pas faire ça. Pas toi. Pas toi le grand Theo Lovegood. Pourtant tes iris se posent sur elle, celle qui t’a donné un petit encouragement avant de redescendre. Celle qui est à l’origine de ce futur massacre. Celle qui te pousse à te dépasser ce soir, pire encore : à sortir de tes habitudes. Toi, Theo, tu t’apprêtes à chanter. C’est juste impossible. Pourtant ce soir l’impossible devient possible, digne d’un roman à la Lewis Carrol. Tu souffles à nouveau, ça résonne dans la salle. Tu vois le sourire de Joya, est-elle fière d’elle ? Pour sûr. Elle a réussi son coup, tu t’apprêtes à chanter. Demain, un ouragan va s’abattre sur la ville et tu seras le responsable de ce cataclysme. Tes mains tremblent un peu, insécurité ? Affirmatif. Tu n’es pas dans une position que tu maîtrises, hors de contrôle. Tu lâches prise et d’un raclement de gorge tu commences à pousser la chansonnette. Tu te surprends, ça se lit sur ton visage. Toi qui chante, une chanson qu’elle a sélectionné pour toi. Une chanson que tu maudiras pour le restant de tes jours, une chanson digne des très grands : Baby Shark. Te déteste-t-elle ? Tu le penses à ce moment précis. Pourtant, tu te plis au jeu et tu chantes, faisant marrer l’assistance. Qui aurait penser qu’un grand dadais comme toi, pourrais chanter ce genre de chanson ? Personne, surtout pas toi. Vu ta classe et ton prestige, ce n’est guère un ‘tube’ pour toi ou tout simplement une chanson de ton répertoire. Sauf que tu laisses prendre ce soir, tu dis oui, bien trop facilement. Merci l’alcool bon marché, seule responsable de tout ce massacre. Vraiment ? Une partie de toi s’amuse, oublie toute la pression du quotidien. Cette partie respire l’air frais, la bouffée qu’est Joya. Cette dernière qui rigole bien au premier rang, un peu comme les autres. Tu rigoles à ton tour, finis par reposer le micro, saluant les gens, digne d’un chanteur de renom. « Alors j’ai été comment ? Ne dis pas formidable, » buvant ton verre cul sec, tu n’en reviens pas, tu l’as vraiment fait. Un peu de fierté en toi, tu ne pensais pas être capable de faire ce genre de chose. Parce que ce n’est pas toi. « Je retiens la chanson, ma vengeance sera terrible ! » que tu lui dis, sans la quitter du regard. Parce que tu ne comptes pas en rester là, tu lèves le doigt, pour lui signaler que tu reviens. Partant en direction du bar, à ton tour de regarder les chansons qu’ils proposent. Tes yeux pétillent en voyant un titre, il va te falloir une bonne dose d’alcool, mais tant pis. Tu la tiens. Retournant vers ta douce dame, ta lady, tu n’as pas objecté à sa demande : pas au bureau. Est-ce que tu pourrais le faire ? Pas sûr. Tu as toujours mis des limites entre le professionnel et le plaisir. Est-ce que Joya est un plaisir ? Ce soir, oui. Pour le reste, tu ne penses pas. Pour une fois, tu savoures l’instant. Le barman vous appelle, « Je n’ai guère pu résister. Me feriez-vous l’honneur d’être ma Cher le temps d’une chanson, my lady, » tu insistes encore sur ce petit surnom. Sourire qui ne s’estompe pas, tu lui tends la main, lui indiquant que tu es prêt pour ce duo. Prêt pour ce moment, qu’elle ne peut pas se défiler. Toi Sonny, elle Cher ? La musique de ‘I Got You Babe’ retentit dans la salle, tu prends place et l’attends. Ce n’est pas à toi de commencer, mais pourtant tu ne peux retenir. Elle a voulu que tu te lâches, elle doit en assumer les conséquences à présent.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Sam 17 Sep - 3:09

don’t rush, slow touch
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Joya est fière d’elle, réellement fière — fière d’avoir réussi à le mettre sur la scène sans avoir eu besoin de lui donner des arguments. Elle lui a tout simplement dit qu’il était capable de tout faire, lui le grand Theo Lovegood, PDG de GoodTech, habitué des lieux plus raffinés, des goûts plus dispendieux, des boissons plus riches. Et malgré tout ça, il est ici, avec elle, dans un lieu où il n’y pas une personne qui se doute de qui il est réellement parce qu’au fond, comme Joya, ils n’en ont rien à foutre de son statut. Elle est aussi fière du choix de chanson fait pour lui, d’entendre les premières notes de cette chanson qui reste en tête dès les premières paroles chantées. Joya est heureuse de ne pas se retrouver sur scène, elle est surtout soulagée d’être parmi la foule qui rigole de toute cette situation, son téléphone dans une main, le filmant tandis qu’elle ne peut s’empêcher de l’accompagner. Un véritable cauchemar cette chanson, mais Joya rigole et elle sait, au fond, que Theo ne lui en voudra pas éternellement. Du moins, elle le souhaite parce que la réalité est qu’elle ne le connaît pas si bien que cela. Que les représailles ne sont pas très loin. « Tu t’en es bien sorti. C’est tout ce que je vais dire. Le reste, je vais demander à ce que mon avocat soit présent. » Lui répond la brune avec un grand sourire sur les lèvres. « C’est ma vengeance pour cette fois où tu m’as donné ce dossier de merde, tu te rappelles ? La fois où j’ai déboulé dans ton bureau, le bon vieux temps. » La première fois, peut-être, sa mémoire lui fait défaut, qu’elle le rencontrait car la majorité du temps, Joya fait affaire avec Jack. Son partenaire. « Mais il me tarde de découvrir ta vengeance, j’en tremble déjà. » Elle lève la main qu’elle prétend faire trembler.
Du regard, elle le suit, ne sachant pas trop ce qui se déroule jusqu’à se faire appeler par le baman. « Ai-je réellement le choix ? » On a toujours le choix dans la vie, c’est ce qu’on dit et pourtant, Joya se surprend à secouer de la tête en rigolant en lui prenant la main qu’il lui tend et le suivant jusqu’au micro. Surprise de le voir se lâcher en débutant la chanson et Joya le rejoint dans cet instant qui lui semble être loin d’être réel ; certaine de se retrouver dans une réalité alternative parce qu’il lui semble encore impossible à croire que Theo soit ici, dans cet établissement, à chanter devant des inconnus sans se soucier s’il paraît ridicule. Puis la musique arrive à sa fin et elle entend les gens applaudir autour d’eux. « Je suis surprise. » C’est tout ce que Joya lui dit en descendant de la scène, ne réalisant pas qu’elle vient de le prendre par la main afin de les guider jusqu’au bar où elle peut boire une gorgée de sa bière, ce besoin de se réhydrater. « Pas une seule âme au bureau croira que tu as fait du karaoké… Heureusement que j’ai des preuves pour les surprendre. » Le téléphone portable en main, inconsciemment Joya s’approche doucement de lui jusqu’à se retrouver dans sa bulle personnelle et lui montre la vidéo qui la fait rigoler encore plus. « Non, je rigole. Je ne montrerai pas la vidéo à qui que ce soit, je te promets que ça restera notre petit secret. » Peut-être parce qu’elle n’a pas envie de divulguer cette soirée à n’importe qui ; qu’elle souhaite conserver cette soirée dans ses souvenirs entre lui et elle. Tous les deux. « J’ai faim. Et j’ai aussi mal aux pieds, tu me raccompagnes chez moi ? Tel le gentlemen que tu es. » Lâche Joya soudainement, rangeant son téléphone dans la poche arrière de son pantalon.
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Dernière édition par Joya Gardner le Lun 17 Oct - 2:35, édité 2 fois
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Mar 27 Sep - 17:23


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« C’est ma vengeance pour cette fois où tu m’as donné ce dossier de merde, tu te rappelles ? La fois où j’ai déboulé dans ton bureau, le bon vieux temps. » son sourire qui est contagieux. Tu bois à nouveau de ce nectar, que tu trouves presque bon. Un comble. Surtout qu’il y a quelques heures, tu trouvais que cela avait le goût de vieilles chaussettes. Pas que tu aies déjà goûté du jus de chaussette, mais dans ton esprit, ça y ressemble. Son regard posé sur toi, son rire durant ta représentation. Tu as osé. Tu as osé chanter devant tout le monde, grâce à elle et surtout à cause d’elle. Tu souris à sa remarque, une vengeance, un mot que tu connais bien. Un mot qui t’est familier, bien trop, pourtant là, tu le prends bien. Tu le prends très bien même, tu lèves tes mains en signe de paix. « Je n’ai rien à ajouter pour ma défense, c’est de bonne guerre. Je dirais juste que ce dossier a permis ce moment, » un petit clin d’œil, elle le sait tout comme toi, tu as cru en elle ce jour-là. Ton père t’a appris à te challenger et tu aimes le faire avec ce qui t’entoure, est-ce que tu y es allé de la meilleure manière avec elle ? Pas sûr. Toujours est-il que tu restes persuadé que tu as bien fait. Et si tu n’avais pas agi ainsi, est-ce que vous en seriez là ? Pas sûr. Tu rigoles à sa remarque, elle ne perd pas le noir. Et ta vengeance arrive, douce et amusante. Parce que tu ne comptes pas en rester là. Absolument pas. Sa main dans la tienne, pas de gêne, c’est presque normal. Elle répond à ton invitation. Elle se laisse entraîner, tout comme toi. L’espace d’un instant, tu oublies tout. Tu oublies qui tu es, ton nom, ta réputation, tu savoures ce délicieux moment. Juste elle et cette chanson. Juste vous deux. Ça te fait du bien, tu rigoles, tu t’amuses et oui tu prends plaisir à tout ça. Qui l’aurait cru ? Pas toi, surtout pas toi y a quelques encore… tu mettras ça sur le compte de l’alcool bon marché et d’un enjeu important. Pour l’heure, tu ne penses à rien, juste à elle, à son sourire communicatif. À son rire, votre rire, ainsi que celui de la foule. Oui, tu es bien Theo.

Deux opposés. Deux âmes contradictoires, mais pourtant, tu as l’impression d’être en symbiose avec elle à ce moment précis. Une proximité qui ne gêne pas. Qui paraît normal, sa main dans la tienne. Un contact qui te réchauffe. Une attitude normale, aux yeux des autres, vous paraissez comme un charmant couple. Alors que non, loin de là, mais tu t’en moques. Tu ne penses à rien, juste à elle et ses paroles. « Mademoiselle Gardner, je ne pensais pas cela de vous, vous seriez capable de ça ? C’est un attrait que je ne connaissais pas et qui me paraît intéressant... » elle finit par rigoler et te confirmer qu’elle ne montrera rien. Pourtant, tes paroles restent en suspens dans les airs, oui, c’est un aspect d’elle que tu ignorais. Elle reste douce et sage. Et puis c’est votre moment, rien qu’à vous. Pas besoin d’entendre les commérages des autres. Ta réputation reste en jeu, elle le sait au fond. Tu finis ton verre d’un coup. Attrapant sa main, obéissant à ses paroles. Oui, tu as besoin de garder ce contact. « Je dois bien avouer que je mangerais bien un truc, une idée, envie ? » sa main toujours blottie dans la tienne, tu avances dans les rues de Weymouth. Tu aurais pu opter pour un taxi, mais l’air frais te fait du bien. Ça va sûrement t’aider à atténuer cet alcool, remettre les idées en place. Puis tu es bien, tu n’as pas envie de perdre cette proximité, sa compagnie. Te souvenant de son adresse, marchant à ses côtés, parlant de tout et de rien. De votre prestation majoritairement. Parce que tu as osé. Tu as osé chanter, elle t’a certes poussé, mais tu l’as fait. Vous rigolez, son rire qui est doux à tes oreilles. Puis tes pas finissent par s’arrêter devant son immeuble.. tu t’approches doucement, « nous voilà arrivées. Et oui, je me souviens de ton adresse et non je ne suis pas un stalker, » que tu lui rétorques avant qu’elle n’ouvre la bouche et te pose mille et une questions. « Je crois que, » tu hésites un instant, ne sachant pas vraiment comment la situation va tourner. Et puis tu t’approches de son visage. « Je crois que c’est le moment pour que nos chemins se séparent, » tu n’en as pas envie, mais tu n’as jamais été quelqu’un qui force. « J’ai passé une charmante soirée et il serait plus sage d’en rester là. » ton visage qui s’est approché d’elle, tes lèvres proches des siennes. Tu t’aventures à déposer un baiser doux et chaleureux sur sa joue, assez près de ses lèvres. Gardant sa main dans la tienne encore un instant. Ce contact qui te fait du bien, cette chaleur qui t’enivre.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo). Lun 17 Oct - 2:36

don’t rush, slow touch
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Elle ne sait plus trop quoi penser de la tournure qu’a pris sa soirée tranquille au pub à déconner avec sa bande d’amis. À tout et n’importe excepter à ça. À quitter les lieux sans dire un mot à un ami afin de se rendre à un endroit où on peut faire du karaoké. Ne s’attendait pas non plus à entendre Theo pousser la note ni à faire un duo avec lui. « Évidemment. Ce serait arrivé à un autre moment, j’ai l’impression. » Parce qu’avec le caractère qu’elle a, la brune, à un moment ou à un autre, un autre projet aurait fait débordé le vase de sa patience artistique. Tout ce qu’elle retient de cette première rencontre est que maintenant, Joya se sent plus écouté qu’à l’habitude. Comme si elle avait l’impression d’avoir le droit de mettre son grain de sel dans plus d’un aspect maintenant. Comme si elle avait le droit également de parler librement ; mais aura-t-elle ce droit à l’intérieur du monde professionnel ? Elle ne sait pas. Car elle ne sait plus quoi penser après cette soirée. Parce que s’il lui donne l’impression d’être libre de dire quoi que ce soit ce soir, demain ne sera peut-être pas le cas. Une relation à double sens ; une amitié naissante tout en se rappelant, qu’à la fin de la journée, il reste aussi son boss ; celui avec la possibilité de mettre fin à son emploi. Où va sa tête ? Joya ne sait plus.

Le plus surprenant est le fait de lui avoir demandé de la raccompagner chez elle. D’avoir parlé de manger un petit quelque chose pour remplir cet estomac vide. Elle se demande si c’est une bonne idée comme elle ne cesse de se demander si le reste de la soirée était une bonne idée parce qu’il est une figure connue à Weymouth. Le patron d’une boîte ; pas supposé fraterniser avec une employée de cette manière, pas supposé la tenir par la main et la raccompagner chez elle. Certaine de doucement perdre la tête. Doucement en train de réaliser que ce n’est pas un rêve. Que c’est vrai. Pourtant, ne dégage pas sa main de la sienne, peut-être trop sous l’effet de l’alcool pour avoir un bon jugement ou peut-être trop attaché à cette proximité entre eux, d’avoir le droit à cette autre facette de Theo. Tu perds la tête, fille qu’elle se répète la brune. « Ce n’est pas bizarre du tout. Ou peut-être que tu as réellement une bonne mémoire. » En temps normal, Joya aurait peur qu’une personne, un homme surtout, se rappelle de son adresse de cette manière. Mais pas lui, pas Theo. Pas ce soir, pas après cette soirée qu’ils ont partagée. Pas après l’avoir vu chanter, l’avoir vu boire de la bière. Pas après tout cela. « Je crois que vous avez raison monsieur Lovegood. » Qu’elle dit, dans un murmure, avec cette intention de vouloir le taquiner jusqu’à la fin de la soirée. Jusqu’au moment où il ne sera plus dans son champ de vision ou si proche d’elle. Que se passe-t-il, est la question qu’elle ne cesse de se demander dans sa tête. L’endroit où les lèvres de Theo se sont déposées encore chaud à la suite de son passage. Ouais, t’as perdu la tête, ma belle. Parce qu’elle doit se retenir de ne pas faire une bêtise. « Merci pour la soirée Theo, ça a été un véritable plaisir de découvrir un Theo moins coincé et plus agréable. » Probablement à contrecœur, elle retire sa main de la sienne et commence à se diriger vers l’entrée de son immeuble. « En passant, j’étais prête à prendre le risque. » Lance-t-elle en se retournant. La tête toujours perdue.
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· Re: don’t rush, slow touch (w/theo).

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