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Astrid Wyatt
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Astrid Wyatt
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age : 28 ans, la trentaine qui approche, et les responsabilités qui s’amoncellent. La vie d’adulte est bien là, et elle est aussi écrasante qu’exaltante
civil status : Fiancée à la (seule) femme de sa vie, sur le point d'enfin l'épouser
past time : résidente en première année de gynécologie-obstétrique, une discipline qui la passionne depuis toujours, une vocation, le grand amour de sa vie après Luz – ou avant, selon certains
orientation : Lesbienne et fière
address : 151, Charleston
nbre de mots : Variable, entre 500 et 1000, plus si l'inspiration est au rendez-vous

pronom irl : elle
pronom perso : elle
trigger warning : Triggers personnels : toxicomanie, criminalité
availability : Dispo
rps : 44
présentation : présentation
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· Brotherly love [PV Callum] Jeu 15 Sep - 14:11

Brotherly Love
septembre 2022
@Callum Wyatt
Le parking pour motos n’est pas très éloigné de l’immeuble de son frère, mais le petit bout de chemin à pied permet à Astrid de remettre ses pensées en place tandis que l’appartement se rapproche. Mais rien n’efface le sourire géant qui est accroché à son visage depuis quelques jours. C’en est même légèrement perturbant, aux dires de tous ses collègues, qui ne sont pas habitués à voir la discrète et froide chirurgienne afficher une joie aussi visible. Les spéculations sont allées bon train sur les raisons de ce soudain contentement marqué, surtout après de nombreux mois à être encore plus renfermée que d’ordinaire. Seuls ses plus proches amis savent, et parce qu’elle n’a pas résisté à ce qui ressemblait furieusement à un piège géant dans lequel elle s’est engouffrée lors de sa pause déjeuner. Pour une fois, néanmoins, parler de sa vie privée n’a pas été si difficile. Et puis, cela fait tout simplement du bien d’être heureuse, et d’avoir une raison de sourire le nez au vent. Elle espère que son frère aura la même réaction, bien qu’en son for intérieur, elle n’en doute pas. Peut-être aussi que, comme elle, il verra l’annonce comme la preuve qu’en dépit des épreuves qu’ils ont endurés durant les derniers mois, un peu de joie est toujours possible. Cela ne ramènera pas leur père comme il était, ni la famille si soudée qu’ils formaient à trois. Ils peuvent tout de même tenter d’avancer avec leurs vies d’adultes, parce que c’est ce que Jack Wyatt veut, voudrait, aurait voulu. De cela, en revanche, Astrid est certaine. La jeune femme s’engouffre dans l’immeuble, grimpe jusqu’au bon appartement, et sonne. En apercevant Callum qui lui ouvre, son sourire devient encore plus éclatant, si c’était encore possible, et elle se laisse aller à une étreinte fraternelle chaleureuse, avant d’entrer dans les lieux, qu’elle connaît suffisamment – comme son frère est un invité régulier de la maison qu’elle partage avec Luz. En dépit de leurs différences flagrantes de caractère, les deux enfants Wyatt ont toujours été proches, autant que peuvent l’être quelqu’un d’aussi solaire que Callum et quelqu’un d’aussi lunaire qu’Astrid. A moins qu’ils ne soient complémentaires, tout simplement. L’écart d’âge conséquent entre eux n’a, paradoxalement, jamais été réellement un obstacle – sans doute parce que l’aîné a ce côté éternellement jeune, quand Astrid a probablement, comme le disent ses amis en riant, une âme de grand-mère enfermée dans un corps qui n’est même pas encore trentenaire, avec son amour de la lecture, du jazz et des soirées tranquilles. Elle sait que la maladie de leur père et tout ce qui l’a entouré n’a pas été sans créer des tensions – dont elle se sent, dont elle est, en partie coupable – mais comme pour son couple, elle espère qu’en définitive, cela les aura rendus plus fort. Faisant face à son frère, Astrid le salue un peu plus convenablement :

« Salut frangin, et désolée de t’avoir prévenu si tard que je passais, j’ai eu un désistement en consultation et j’ai pu partir plus tôt aujourd’hui. »

Il est vrai que l’horaire est à la fois tardif pour le commun des mortels, et tôt pour elle et son habitude des journées à rallonge. Bien entendu, la jeune femme a prévenu sa compagne, en expliquant qu’elle se rendait chez son frère. Luz doit se douter du pourquoi de cette visite, et Astrid a une pensée tendre en imaginant le retour dans leur logis, et les questions qui vont venir. Ce qui la ramène au motif de sa présence en ces lieux. A nouveau, le sourire revient, plus fort, plus brillant. Ses yeux pétillent de malice quand elle ajoute :

« Je t’avoue que j’aurai pu prendre mon téléphone, mais je me suis dit que ce serait mieux de le faire en personne. »

Oh, elle peut bien s’amuser un peu à faire monter le suspens – encore que, il y a peu de choses qui pourraient lui donner une telle sensation de bonheur visible, et elle a déjà eu les résultats de sa première année de résidence, qu’elle s’est empressée de transmettre à Callum, donc ce n’est pas ça. Et son frère se doute bien que si ses chères études ne sont pas en cause, cela doit avoir trait à une certaine brune. Ou à un gain à la loterie, mais c’est peu probable. Cependant, Astrid ne résiste pas plus longtemps et lui annonce finalement :

« Il va falloir qu’on regarde ton agenda ensemble, parce que je vais avoir besoin de toi dans les semaines à venir.

Trois fois rien, juste une petite excursion à la mairie. »

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· Re: Brotherly love [PV Callum] Lun 26 Sep - 18:41


Brotherly Love
septembre 2022
@Astrid Wyatt


Accoudé à la table, l’air mi-endormi, mi-concentré, Cal est en pleine colorisation quand il entend Astrid sonner. Il n’y a qu’elle pour débarquer à une heure si tardive et même sans avoir été prévenu en amont, Callum n’aurait pas eu à chercher : ses ami·es savent qu’après 20h, Monsieur est sur son canapé avec un verre de cidre; en pleine peinture... ou entrain de dormir profondément, une bouillotte chaude sur les reins. Cela dépend de sa journée, de son humeur et du nombres d'échelles montées. Après le passage d'Astrid, ce sera certainement un mélange de la 2ème et de la 3ème solution.

Le pinceau est posé avec attention avant de se rendre dans l’entrée. Pas le moment de rater la lagune, qui est quasi terminée, avec une tâche d'eau trop longue ! 3 semaines qu'il est sur cette commande et il en voit enfin le bout, après quelques nuits blanches et quatre remises en question au compteur. Cal a beau savoir qu'il a du talent, les montants demandés pour ce type de peinture lui donnent toujours l'impression de devoir être plus qu'excellent pour mériter un tel chèque. L'éternelle anxiété du freelance de ne jamais faire assez.

En arrivant dans le couloir, un rapide regard au miroir accroché au mur d’en face lui permet d’effacer un peu de peinture mauve, égarée sur sa joue et dans sa barbe. Sans avoir le temps de davantage se nettoyer, il ouvre la porte et se retrouve avec Astrid dans les bras, aussi joyeuse que souriante. Les embrassades sont naturelles chez les Wyatt mais il y a quelque chose dans le comportement de sa petite soeur qui l’embarque dans son rayonnement. Lui aussi se met à sourire comme s'il venait de gagner à la loterie !

- Aucun soucis, c’est toujours cool de savoir que tu ne finis pas à 3h du matin.

Son ton, légèrement sarcastique, est surtout teinté d’inquiétude : si lui fait n’importe quoi avec son corps, Astrid fait n’importe quoi avec son rythme. Pas un·e pour rattraper l’autre mais au moins sont iels là pour se le rappeler.

- J’ai mis à réchauffer des lasagnes si tu as faim.

Dit-il en l’invitant à s’aventurer dans sa cuisine - petite mais agréable - où l’odeur de sauce tomate embaume jusqu’au couloir central. En fermant la porte derrière elle, il reste silencieux, assuré que ce sourire et l’éclat de ses yeux bleus cachent autre chose que le plaisir de venir l’embêter un lundi soir. Et aux premiers mots, il comprend sans peine et se retrouve, à son tour, avec un sourire un peu niais en guise de réponse.

- Aaaah, je vais enfin pouvoir montrer à quel point je suis beau dans un smoking ! Plus sérieusement, félicitation As’, vous le méritez tellement !

Ses bras enlacent les épaules de sa petite soeur sans lui laisser le temps de répondre. S’il y avait bien un couple qui méritait un mariage - quelque soit son lieu et sa taille - c’était bien Luz et Astrid. Elles avaient été patientes, trop au goût de Cal qui s’en était même voulu de ne pas pouvoir prendre sur lui toute la charge financière de leur père. Mais c’était un autre sujet et elles avaient visiblement trouvé une autre solution.

- Qu’est ce qui vous a fait changer d’avis ? Enfin, pas sur le mariage mais sur le… où, quand et comment ?

Qu’il lui demande, en s’asseyant sur un tabouret. Passer d’une grosse cérémonie à quelque chose de si intime qu’un simple tour à la mairie suffit… C’est un sacré changement !
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