Viggo était un homme de gout, ça ne faisait aucun doute et cela tout le monde le savait, sans même le connaitre. Généralement son nom évoquait le raffinement et l’élégance. Les hôtels de la ligne n’avait plus besoin de faire leurs preuves, les connaisseurs, les amateurs de voyages autour du monde et de palaces de grand luxe, les connaissait forcément. Viggo était une parfaite représentation de ses hôtels. Elégant, un charme à la fois mystérieux et raffiné, toujours bien coiffé, bien habillé, rien ne dénotait, attitude et tenue toujours parfaitement adaptée. Viggo était comme un poisson dans l’eau aux réceptions mondaines même si souvent, il s’y ennuyait. Et il avait besoin de divertissement, il le cherchait sans cesse et le trouvait bien souvent, même dans les endroits qui semblait les plus ennuyants. Pour être honnête, il avait un très grand vice, son gout immodéré pour la gent féminine. Il aimait les belles choses et les femmes ne faisait pas exception. Si une jolie demoiselle passait près de lui, il ne se faisait jamais prier pour regarder et s’il y avait une infime possibilité d’aller plus loin, alors il ne laissait pas passer cette occasion. Quelle que soit les circonstances, quelle que soit les lieux, Viggo savait y faire et il finissait souvent par parvenir à ses fins. Max ne faisait pas exception. C’était elle qui l’avait abordé tout à l’heure dans les jardins de l’hôtel mais ensuite, il avait parfaitement maitrisé la suite des évènements. Les femmes, il les connaissait et Max n’était pas si différente des autres. Ce qui la distinguait c’était qu’elle était sûre d’elle et qu’elle n’avait aucun tabou ce qui rendait encore plus simple, pour Viggo de savoir ce qu’elle voulait, ce qu’elle attendait de lui et ce qui lui avait permis de se montrer relativement direct puisqu’il avait rapidement compris que tous les deux étaient sur la même longueur d’ondes. Ainsi les choses s’étaient faites naturellement jusqu’à ce qu’ils se retrouvent dans la suite la plus luxueuse de l’hôtel Sundman, tous les deux nus sur le grand lit. Viggo savait que sa réputation le précédait bien souvent, dans les affaires mais aussi pour ses performances dans l’intimité et il savait que Max devait avoir des attentes importantes le concernant mais elle n’allait pas être déçue, ça il en avait la certitude. Après avoir entrepris de guider les opérations, Max avait finalement lâché et prise et laissé le suédois prendre les commandes. Viggo avait l’habitude de diriger, ce n’était pas un problème pour lui même s’il appréciait parfois un peu d’initiative chez ses partenaires. Si Max lui laissait diriger les opérations il n’allait pas rechigner et faire le fine bouche, il allait lui donner exactement ce qu’elle désirait et même bien plus encore que ce qu’elle avait pu imaginer en pénétrant dans la suite quelques minutes plus tôt.

it was probably nothing. // @Viggo Sundman ※※※ C'est depuis ton adolescence que tu as toujours su ce que tu souhaitais dans la vie. Tu pars du principe que l'on a qu'une seule vie et qu'il faut la vivre à fond pour ne jamais avoir de regret. Tu as presque de la peine pour les personnes qui ne prennent jamais de risque et reste dans leur zone de confort. Ce n'est clairement pas ton cas. Tu aimes tester de nouvelles choses, faire de nouvelles expériences. Tous les jours, tu sort de ta zone de confort et pénètres dans l'antre du diable. Ce soir, tu viens d'y poser les deux pieds. Te voici à présent dans la suite du grand Viggo Sundman. Tu connais très bien sa réputation, aussi bien professionnelle qu'avec les femmes. Viggo est un homme d'affaire qui n'a pas peur de se salir les mains et qui obtiens toujours ce qu'il désire. Il en va de même avec les femmes sauf que, cette fois, avec toi, il est fort probable qu'il n'obtienne pas gain de cause. Tu as commencé par prendre les devants en déshabillant le jeune homme, mais tu n'en restes pas moins une femme avec certains besoins. Et parfois, tu aimes redevenir Maxine. Celle pleine de grâce et de douceur. Alors, c'est avec un certain plaisir que tu le laisses reprendre les commandes et devenir le mâle Alpha de cet ébat non moins sensuel. Pas d'attaches, pas de sentiments. Jamais. C'est la règle. Tu commences à perdre patience. Mais Viggo s'en donne à cœur joie avec toi. Il vient jouer avec toi, histoire de te faire perdre, littéralement, la tête. Si ces choses là fonctionnent avec ces autres partenaires, il se pourrait que le blond apprenne à te connaître. Question torture, tu n'en es pas à ton coup d'essai. Tu viens glisser ta main sur son membre et commence à le caresser. Doucement, pour commencer puis de plus en plus fort et vite. On ne s'en prend pas à Max Zimmer sans en payer les conséquences. Il faut bien admettre que dans ce domaine, Viggo se défend plutôt pas mal. Il t'arrive presque à la cheville. Tu laisses même échapper quelques gémissements d'entre tes lèvres. Tu continues de caresser sa virilité en le sentant grossir de plus en plus. Tu n'es pas peu fière de le sentir autant grossir entre ta main. Soudain, tu relâches tout et viens pousser un long et profond soupir de plaisir. « oh putain... » Tu lâches entre deux gémissements. Tes doigts viennent se serrer autour des draps de l'homme. Ton dos se cambre. Tes cuisses s'ouvrent encore un peu plus grand afin d'avoir encore plus de plaisir. Viggo s'arrête brusquement. Tu ne comprends pas tout mais le regardes prendre les précautions nécessaires. Avoir un enfant maintenant et dans ces conditions ne faisait pas partis des choix. Les médecins ont eu beaux te diagnostiquer une stérilité, tu sais très bien que la médecine n'est jamais fiable à cent pour cent. Mieux vaut être prudents. Perdue dans tes pensées, tu reviens très rapidement à la réalité en sentant l'homme te pénétrer avec une légère force. Tu laisses échapper un gémissement de plaisir d'entre tes lèvres. Puis le laisses s'occuper de toi. Tes mains contre son torse, tu viens suivre ses mouvements de bassins sans aucun problème. Tu savais très bien que tu finirais la nuit avec un homme mais jamais, Ô grand jamais, tu ne pensais te retrouver dans la suite du grand et beau Viggo Sundman. Toi qui a toujours voulu te faire une opinion sur les performances de l'homme, tu dois bien admettre que tu n'ai pas déçu. Tu es même complètement satisfaite et pas vraiment pressé que les choses s'arrêtent si rapidement. Tes mains glissent sur les fesses de ton partenaire. Tu resserres ton être au corps de l'homme en gémissant de plaisir. « oh putain.. continue.. » Réussis-tu à dire entre deux coups de bassins.

Ce soir le chasseur n’avait pas eu beaucoup d’efforts à faire pour se retrouver en charmante compagnie dans l’intimité de la plus belle suite de l’hôtel Sundman de Weymouth. Il n’allait pas s’en plaindre. Parfois les femmes aimaient se faire désirer, courtiser un minimum et parfois Viggo acceptait de jouer ce jeu. Cependant c’était risqué et dangereux. Le prédateur connaissait son succès auprès de la gent féminine et il avait tôt fait d’aller trouver son bonheur ailleurs lorsqu’une demoiselle faisait trop de manière. Avec Max, ça n’avait pas été le cas. Direct et claire sur ses intentions, la rousse n’avait pas fait durer le suspens très longtemps. Une fois dans la suite, il n’avait eu qu’à l’effleurer quelques fois pour la voir enlever sa robe sous ses yeux satisfaits. Maxine Zimmer ou non, elle restait une femme et comme avec toutes les autres qui étaient passées dans son lit avant elle, il ne doutait nullement de sa capacité à la satisfaire. Après tout, elle ne pouvait pas être si différente des autres malgré ce qu’elle voulait laisser croire. Une femme, forte ou non, dirigeante ou simple employée de ménage, aspirait souvent à la même chose lorsqu’il s’agissait de ce qui se passait sous la couette et Viggo était plutôt généreux en la matière bien conscient que sa seule satisfaction à lui était loin d’être suffisante lorsque l’on recherchait des ébats mémorables. Il jouait avec Max, et elle se laissait faire, lui laissant bien vite et sans résistance réelle, les commandes de cette soirée torrides qui commençait.

Viggo était loin d’être un idiot. Il savait ce que l’on disait de lui dans son dos, qu’il s’agisse de compliments ou, au contraire, de qualificatifs peu élogieux. Il acceptait, sans difficulté tout ce que l’on pouvait dire sur lui. Il savait qui il était, ce qu’il fallait et rien, ni personne n’avait le pouvoir d’immiscer une once de doute en lui, c’était plus facile ainsi d’accepter les critiques. S’il y avait bien un domaine ou les qualificatifs le concernant n’était que rarement négatif c’était celui dans lequel Max semblait vouloir s’engager avec lui. Charmeur invétéré, Viggo savait y faire avec la gent féminine. Il était l’un de célibataire les plus en vue d’Angleterre et même bien au delà des frontières de l’ile britannique ce qui, aussi lui facilitait grandement la tâche mais, il fallait bien avouer que rarement, ses conquêtes d’une nuit, ne repartaient déçue d’une nuit d’intimité avec lui, ou peut être seulement de ne pas avoir réussi à obtenir de lui plus que cela. Silencieusement alors qu’il observait avec un certain amusement le petit jeu de Max, il se demandait si la rouquine agissait ainsi pour être certaine de pouvoir se faire un avis sur la question, si ce qu’elle avait pu entendre sur lui de la bouche d’autres femmes avaient attisé sa curiosité ou s’il n’y avait rien de tout ça. Elle était pleine de malice, il n’en doutait pas un instant. Il comptait bien lui montrer ce qui faisait sa réputation.

it was probably nothing. // @Viggo Sundman ※※※ Une nuit de sexe, c'était ce qu'il te fallait pour oublier tes soucis du moment. Ce soir, tu n'as pas choisie le plus mauvais partenaire. Viggo Sundman. Toutes les femmes de la ville rêvent de passer au moins une nuit avec lui. Et ce soir, tu es l'heureuse élue. Celle qui a eu le droit de visiter sa suite, de goûter à sa cuvée personnelle et de tester le confort de son lit « king size ». Ton corps, à présent dénudé contre celui de Viggo, lui aussi entièrement dépourvu de vêtements. Tu apprécies ce contact et les préliminaires que le blond ose te faire. Des hommes, t'en as connu un bon paquet dans ta vie. Mais jamais aucun ne t'as fait autant de bien que Viggo. Il sait y faire avec les femmes, c'est certain. Toi qui aime contrôler les événements, ce soir tu laisses le blond prendre le contrôle sans aucun soucis. Le gala de charité te semble si loin désormais. Tu sent Viggo venir te pénétrer avec force et douceur en même temps. Un long gémissement de plaisir s'échappe d'entre tes lèvres. Tu te laisses complètement aller, le laisser mener la danse de vos deux corps l'un contre l'autre. À chacune de ces caresses, de ses baisers sulfureux, tu ne peux retenir tes gémissements. Tu ne les contrôles plus. Tu vas et viens au rythme de ces coups de reins. Tu les suis avec ta pleine conscience mais très vite,tu redeviens Max Zimmer et viens inverser les positions. Désormais, tu viens surplomber l'homme et donner de plus forts coups de reins, l'obligeant à aller encore plus vite en elle. En général, tes partenaires de la nuit ne dure qu'une seule nuit mais cette fois, il est clair que Viggo aurait tout le loisir de revenir prendre possession de tes draps aussi souvent qu'il le désirera. Le temps s'écoule plus vite que tu ne le souhaiterais. Très vite, tu arrives au point de non retour et ne tarde pas à venir atteindre l'orgasme ultime en gémissant plus fortement que les secondes précédentes. Doucement, les mouvements se font plus lents et finissent par s'interrompre définitivement. Tu atterris sur lui, la tête sur son torse, essayant désespérément de reprendre ton souffle. Tu te retrouves aux côtés de Viggo, le regard qui fixe silencieusement le plafond. « ça, c'est une nuit à laquelle je ne m'attendais pas ! » Puis, après avoir repris tes esprits, tu viens t'asseoir sur le rebord du lit et viens attraper tes sous-vêtements et les remets sans un mot. Un regard tourné vers le milliardaire qui semble t'observer en silence. Tu souris avant de venir enfiler une nouvelle fois ta robe ainsi que tes escarpins. Attrapant un morceau de papier, tu viens y griffonner au dos ton numéro de téléphone portable personnel. « si jamais tu as envie que l'on remette ça, appelles moi ! » Ton sac à la main. Un sourire coquin sur le visage, tu viens quitter la chambre. Mais pas question de retourner à la soirée. Ton chauffeur se charge de te ramener chez toi. Là où tu pourras venir prendre une longue et agréable douche avant de venir enfiler ta nuisette et sombrer dans les bras de Morphée.